Auric Georges
LAS à Pierre [de Massot]. Freneuse (S. et O.), 3 août 1960; 2 pages in-8.
Massot est dans la misère (il mourra neuf ans plus tard dans la détresse). «Tout ce que tu m'apprends m'attriste et me navre». Il lui envoie un mandat de 10 000 anciens francs et un chèque de 400 F. Le remerciant de son livre (Oui, notules sur É. Satie, dessin de G. Braque) il note «le plaisir et l'émotion que viennent de me donner ces pages où j'ai retrouvé, autour de toi, de ta femme et de G. Braque, le vieux «bon maître» de mes vingt ans...»
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