Joan MIRÓ (1893-1983).
L.A.S., Palma de Mallorca 7 août 1977, à Jean-Clarence Lambert ; 1 page et demie in-4 à son en-tête, enveloppe.
Sa lettre l’a intéressé : « Le FEU que vous trouvez dans mon œuvre, et qui est le moteur qui déclanche tout. Mais parlons travail ». Son état de santé nécessite un long et total repos. « En regardant mon programme de travail, je vois que je ne peux pas envisager d’y réfléchir avant deux ans au moins, j’espère cependant que lorsque je viendrai à Paris je ne manquerai pas de vous voir »...
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