Marie LAURENCIN (1883-1956).
L.A.S., 10 juin 1953, à Georges Moos ; 1 page in-8.
« Il faut mettre Paul Pétridès au courant. […] Il n’est pas content de votre silence à son égard. C’est lui qui a prêté les tableaux et les cadres et si l’exposition a du succès cela lui fera plaisir ». Elle ajoute : « Je suis fatiguée à l’extrême. Je n’aime pas cela ».
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