Rare quenouille de mariée en verre bleu vert transparent. Tige à culde- lampe, dotée d'une tête creuse flanquée de cinq anses pincées et agrémentée d'une bague festonnée. Provence ou Languedoc. XVIIIe siècle Éclat au bord de l'orifice. Long. 27,3 cm Dans son ouvrage sur la verrerie, Mme Jacqueline Bellanger décrit ces objets comme étant des quenouilles de mariée à destinée purement symbolique. Le fait que leur tête soit évidée pour le passage d'un instrument peut également faire penser à des affiquets. Un modèle proche appartenant à la collection des amis de Sorèze est publié p. 145 in BELLANGER (Jacqueline). Histoire du verre. L'aube des Temps Modernes (1453-1672). Massin, Paris, 2006. Un autre exemple, conservé au musée d'Art et d'Histoire de Grasse est photographié p. 137 in BELLANGER (Jacqueline). Verre d'usage et de prestige. France 1500- 1800. Les Éditions de l'Amateur, Paris, 1988
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