L.A.S., Paris 12 avril 1828, à un comte; 2 pages et demie in-4 (portrait lithographié par Jules Boilly joint). Sur ses portraits. Il regrette qu'on ne l'ait pas averti de sa visite: «Quoique j'eusse alors une séance j'aurais cependant pu disposer de quelques instants pour profiter de votre visite. [...] Ma femme vous a dit que le prix de mes portraits avec des mains est de trois mille francs. Il y a cinq anss que j'ai établi ce prix, et j'en ai fait sur ce pied un assez grand nombre. Cependant quelques personnes en faisant valoir quelques considérations qui leur était particulières, d'autres en me demandant de resserrer le cadre de manière à ce qu'il n'y eût que tout juste la place des mains, obtinrent de moi quelques diminutions»... Ne trouvant plus son compte à faire des portraits de cette manière, il a préféré se mettre à faire des tableaux, «qui en me présentant autant d'avantages me permettent de me livrer à la peinture d'une manière plus conforme à mes gouts, et plus dans le véritable but de l'art»
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