Avant la corrida, le quadrille, circa 1922 Huile sur toile (rentoilée) Signée en bas à gauche 65 x 81 cm Marcel LEPRIN (1891-1933) Les tableaux de Leprin, ce solitaire, suivent pas à pas ses tourments comme ses joies. L'ombre d'un quotidien difficile mais aussi exalté rôde, liant indissociablement l'oeuvre peinte et la vie intime de l'artiste. Ce marseillais d'origine peint plus sec et plus réaliste qu'Utrillo, uniquement des scènes vécues ou des personnes rencontrées, en bref le quotidien d'une vie d'errance. Les corridas; Leprin y a gagné sa vie dans les quadrilles de second ordre. La zone et la province; Leprin y a séjourné dans des pensions de famille pour y goûter au loyer modeste, diner compris. Fuir Marseille pour Paris, puis fuir Paris pour Honfleur, puis pour Caen... fallait-il toute cette adversité pour que la peinture de Leprin nous touche au coeur? Oui sans doute(*)
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