L.A.S. à Jean Royère. Paris, 4 mars 1927. 4 pp. in-12 oblong, encre rouge et noire. Très belles pages calligraphiées à son ami : Ne me dites pas merci, mon cher Royère ; Pour rien au monde, je n'aurais voulu qu'un de mes amis vint sans vous aux mains d'Armand Godoy ; Je ne le sépare pas de vous en l'occurrence, & ne vous sépare pas de lui. La rencontre ne s'est pas faite ; Je le regrette pour tous les trois (...). Suarès lui demande une collection complète de la Phalange sur grand papier ou dans l'édition commune. (...) Je crois me rappeler que les poèmes de Nau ont paru par vos soins (...).
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