Historien de la Marine et poète à ses heures perdues. Il fut voisin de Baudelaire lorsque celui-ci habitait rue d'Amsterdam, à Paris. Une première lettre est écrite de Paris, le 23 mai 1860, dans laquelle Guichon félicite Baudelaire pour la qualité de compréhension de l'esprit de Poe. Il espère d'autres traduction, et s'en informe auprès du poète. Dans sa seconde lettre, du 12 juillet de la même année, Guichon ne cesse de tarir d'éloges pour Poe, remerciant Baudelaire pour les renseignements qui lui ont permis d'acquérir de nouveaux textes du poète. Il aimerait cette fois acheter des portraits de Poe afin «de connaître quelle forme terrestre revêtit une telle âme». La dernière lettre, du 16 juillet, est encore une lettre d'éloges, tant pour Poe que pour Baudelaire. Provenance : Fonds Ancelle. Lot vendu sur folle enchère de la vente du 1er décembre 2009.
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