Ecrivain, il fonda la Revue contemporaine, dans laquelle Baudelaire écrivit, en devint directeur, puis fonda la Revue européenne. Quatre lettres autographes signées, à l'en-tête de la Revue Contemporaine pour trois d'entre elles, adressées à Baudelaire. Les deux premières lettres, du 9 février et du 11 mars 1859, concerne les épreuves de la «Danse macabre», de «l'Albatros» et du «Voyage», tirées des Fleurs du Mal et l'envoi du texte de Baudelaire sur l'opium. La lettre du 28 avril 1860 est très virulente, Calonne se plaignant de l'impertinence de Baudelaire. Celle du 11 mai 1861 marque l'arrêt de la collaboration entre Baudelaire et la Revue contemporaine.
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