L.A.S. «G. de Chirico», Rome 14 mai 1955, à Marcello ANCHORENA; 4 pages in-8 (papier froissé, fentes aux plis réparées).
Armand NAKACHE lui a écrit «qu'il est d'habitude dans les Salons officiels français de n'exposer les oeuvres d'un peintre français vivant que avec son consentement et sa collaboration», mais son avocat assure que cela ne suffit pas: «Il faudrait une déclaration du Président d'une, ou de deux des plus anciennes Société artistiques des Salons officiels de Paris, dans laquelle déclaration le dit Président cite aussi l'article du règlement (avec le numéro de l'article), pour que cela soit bien clair que d'après l'article numéro... du règlement de la Société Nationale des Artistes Français (c'est, je crois, la plus ancienne), les oeuvres exposés sont demandés aux artistes par invitation etc.». Il est certain qu'il existe un article stipulant que le Salon n'a pas le droit d'exposer les oeuvres d'un artiste français «à son insu, et en allant chercher les oeuvres chez des collectionneurs ou des marchands. [...] C'est incroyable combien c'est difficile d'avoir ce que je demande». Il a déjà, quelques années auparavant, tenté d'obtenir ces documents «pour moi tellement nécessaires; mais je n'ai eu que des choses à côté. - Et pourtant cela paraît si simple. [...] pourquoi est-ce tellement difficile d'avoir ce que je demande?»...
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