Dom Robert (1907-1997)

Sortie de l’imagination de l’artiste bénédictin, une nature sauvage habitée de volatiles faisait merveille, rivalisant avec l’univers plus hermétique d’un Jean Lurçat.

Une tapisserie du moine artiste illustrait son amour immodéré pour la flore et la faune, tandis que Bellmer se focalisait sur son sujet favori : la femme.

Un ensemble aux couleurs remarquablement fraîches ouvre les portes du monde merveilleux du peintre cartonnier, alors à l’apogée de son art.

Peintures de maîtres modernes et objets d’art de toutes les époques émaillaient le programme de ces deux vacations successives, réservant de belles surprises.

À la fois moine et artiste, le peintre cartonnier nous a emmenés cette fois dans les plaines américaines, tandis qu’Alexandre Roubtzoff préférait évoquer sa thébaïde tunisienne.

D’une provenance intéressante, ce meuble précieux du XVIIe siècle contrastait ici avec une peinture du religieux artiste, l’un des rénovateurs de la tapisserie.

Offerte par l’artiste à des amis, cette toile est l’un des rares témoignages à nous être parvenus de la production picturale de celui qui demeure comme l’un des grands noms de la tapisserie du XXe siècle.

Pas moins de 30 000 € étaient nécessaires pour emporter cette imposante tapisserie de Dom Robert (1907-1997), titrée avec humour Chèvrefeuilles (254 x 369 cm), présentée à Guéret le samedi 8 décembre (Turpin OVV). Emblématique de l’univers champêtre du...

Le lundi 22 janvier, à Metz, est annoncée à 20 000/30 000 € cette tapisserie en laine signée Dom Robert (1907-1997) et datée dans la trame de 1958 (Est Enchères OVV). Sortie de l’atelier Tabard à Aubusson, elle est titrée Heurtebise : une ode à la nature...

Ces divinités gréco-romaines attribuées à Rombouts étaient accompagnées d’une tapisserie de Dom Robert et de mobilier.