Vente le
08 mars 2019 - 14:00 (CET) -
Salle 4 - Hôtel Drouot - 75009
Parmi le fabuleux bestiaire du sculpteur, on a l’habitude d’admirer la grâce des guépards, des léopards ou des panthères. Plus rares sont les lions et plus encore ceux dévorant, dans la lignée des fauves et autres animaux combattant de Barye.
Rembrandt Bugatti (1884-1916), Lion couché dévorant, vers 1908, épreuve en bronze à patine brun nuancé, fonte d’époque à cire perdue par Albino Palazzolo pour Hébrard numérotée «2», 26 x 91 x 36 cm. Estimation : 200 000/300 000 €
Rembrandt Bugatti (1884-1916), Lion couché dévorant, vers 1908, épreuve en bronze à patine brun nuancé, fonte d’époque à cire perdue par Albino Palazzolo pour Hébrard numérotée «2», 26 x 91 x 36 cm. Estimation : 200 000/300 000 €
Dès 1903, fréquentant assidûment le Jardin des Plantes, le jeune Rembrandt Bugatti sculpte ses premiers fauves. Il reprend ce thème quelques années plus tard à Anvers où l’accueillent le directeur du zoo, Michel L’Hoest, qui met un atelier à sa disposition, et Frans Franckx, gardien de la ménagerie, qui l’accepte à ses côtés lors de ses tournées. Les félins deviennent plus que des sujets, des compagnons : on sent…
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