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Diego Della Valle, un mécénat colossal

Publié le , par Sarah Hugounenq

Le patron de Tod’s retrace l’histoire d’un partenariat décennal qui a permis de restaurer le Colisée. Face aux remous passés de l’opinion publique, il rappelle combien le mécénat culturel italien rime avec identité.

 © Tod’s Diego Della Valle, un mécénat colossal
 © Tod’s
Le mécénat de la marque de maroquinerie de luxe à la restauration de fond en comble d’un des monuments les plus iconiques au monde touche à sa fin. Une première phase de travaux a porté, de 2011 à 2016, sur la rénovation des extérieurs de l’amphithéâtre romain. Depuis juin dernier, les hypogées sont pour la première fois accessibles au public grâce à l’installation d’une passerelle suspendue. Votre entreprise est réputée pour son implication auprès de causes sociales, dont l’aide et l’accompagnement des jeunes en particulier. Pourquoi avoir associé Tod’s au Colisée ? Ce projet est en effet le premier soutien de Tod’s au monde de la culture. Tout est né d’un appel de la mairie de Rome. Ils sont venus me voir en 2011 dans le cadre de la campagne de restauration prévue. La culture est omniprésente en Italie. Mais nous n’avons pas de ministère du Tourisme, alors que c’est une activité vitale. Il était donc normal de soutenir ce symbole de Rome, comme d’autres ont soutenu la restauration de la fontaine de…
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