15e édition de qualité pour la Biennale d’art contemporain d’Istanbul, qui cette année s’est choisi pour commissaires un duo d’artistes, avec pour thème général celui du «bon voisin».
Pedro Gómez-Egaña (né en 1976), Domain of Things, 2017, courtesy de l’artiste, produit avec le soutien de Arts Council Norway, Office for Contemporary Art Norway, City of Bergen Norway, Faculty of Fine Art, Music and Design, University of Bergen et BIT Teatergarasjen. Présenté avec le soutien de QP Magazine. Photo : Sahir Ugur Eren
Pedro Gómez-Egaña (né en 1976), Domain of Things, 2017, courtesy de l’artiste, produit avec le soutien de Arts Council Norway, Office for Contemporary Art Norway, City of Bergen Norway, Faculty of Fine Art, Music and Design, University of Bergen et BIT Teatergarasjen. Présenté avec le soutien de QP Magazine. Photo : Sahir Ugur Eren
Heureux hasard du calendrier, 2017 constitue une année exceptionnellement riche en expositions internationales d’art contemporain. Outre les biennales de Venise, de Lyon et d’Istanbul se tiennent en effet documenta 14 de Cassel, une manifestation quinquennale, et Skulptur Projekte à Münster, qui ne revient que tous les dix ans ! Le commissariat de la Biennale d’Istanbul a été confié cette année au duo de plasticiens dano-norvégien Elmgreen & Dragset. Est-il pertinent de s’en remettre ainsi à des artistes ? On pouvait en douter au vu de la biennale européenne Manifesta 11, qui s’est tenue l’an passé à Zurich. Cette édition supervisée par le plasticien Christian Jankowski s’était révélée décevante, l’artiste soumettant trop les projets de ses pairs à sa propre démarche,…
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