Rien que de très classique au sommaire de cette dispersion partagée entre tableaux, objets de décoration, mobilier et arts d'Asie.
Articles après-vente
Papiers de Chine
Une nouvelle fois, Robert de Semallé (1839-1946) était présent chez Tessier & Sarrou et Associés . Le…Lire la suite
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Artistes associés
À qui doit-on ces Trois barques sur la grève ? Claude Monet ou Georges William Thornley (1857-1935) …Lire la suite
San surprise, ou presque, la plus haute marche du podium est promise à un tableau d'Étienne Dinet. C'est une toile intitulée Le Bain des filles du Djenn's au clair de lune pour laquelle 180 000/220 000 € sont espérés. Du même, on pourra préférer une œuvre inondée de soleil et à la palette réduite, datée 1888, Midi en juillet à Bou-Saâda , annoncée à 80 000/100 000 €, tandis que 35 000/45 000 € sont demandés d'une Halte de chameliers devant Nazareth , datée 1840, signée Antoine-Alphonse Montfort. Une somme d'altitude semblable, 30 000/50 000 €, est avancée sur un astrolabe maghrébin en laiton martelé et gravé du XII e siècle. Des œuvres contemporaines, des textiles, des photographies, des manuscrits et des livres, dont un exemplaire en trois volumes des Monuments de l'Égypte et de la Nubie d'après les dessins exécutés sur les lieux… de Champollion le Jeune (Paris, 1845, 15 000/20 000 €) et d'autres issus d'une bibliothèque marocaine, ainsi qu'un ensemble de lampes de mosquée complètent cette sélection.
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Un astrolabe du Maghreb
Toujours aussi recherché, un astrolabe du MaghrebLire la suite
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Preneur d’astres
Non signé et non daté, cet astrolabe (proposé en live par Gros & Delettrez, dimanche 13 , à 30 000/…Lire la suite
Les mille et une nuits d’Étienne Dinet
Le plus connu des peintres orientalistes français,Lire la suite
La course devrait être serrée qui verra s'affronter pour la première place une Ferrari 512BB de 1980 et une Chevron B8 de 1968, chacun de ces deux bolides étant assorti d'une estimation de 200 000/230 000 €. Millésimée 1955, une Triumph TR2 (PKV 693) d'usine attend son nouveau propriétaire moyennant 180 000/220 000 €, tandis qu'une Jaguar type E Compétition de 1964 pourrait reprendre du service pour peu que l'on engage 170 000/200 000 €.
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Peugeot, Fiat et Bentley
Équipées pour les rallyes ou d’allure royale, tousLire la suite
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Delahaye 1936 par Labourdette
Une collection d’automobiles d’avant-guerre est enLire la suite
En tête d'affiche de cette vente du 13 décembre s'impose le peintre franco-chinois Chu Teh-chun avec une Composition n° 467 de 1972, jamais passée sur le marché puisque acquise auprès de l'artiste lui-même en 1973 (voir Gazette n° 43 page 176). 160 000/200 000 € seront à envisager pour son acquisition. Parmi les autres tableaux modernes et contemporains, nous mettrons en avant une Paysanne dans un sous-bois dépeinte vers 1906-1907 par le nabi Georges Lacombe (10 000/15 000 €), et La Meule rouge de 1965 d'un autre adepte de l'école de Pont-Aven, Henri Hayden, qui pousse là à son extrême le pouvoir expressif et poétique de la couleur (8 000/12 000 €). Signalons encore parmi les artistes lyonnais une Scène de fête sur une place de Jacques Truphémus, prisée 6 000/8 000 €, et le Retour d'un voyage en 1890 dans le détroit de Torrès avec mon ami Pierre Robin d'Armand Avril, une technique mixte à disputer à 5 000/8 000 €.
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De Chu Teh-chun à Ettore Sottsass
Les artistes s’appelaient Chu Teh-chun, Cortès, Lacombe, ouLire la suite
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Évaporation dans un blanc céleste
Acquise directement auprès de l’artiste en 1973 etLire la suite
Le dimanche 13, rendez-vous à 11 h pour assister à un défilé d’affiches hautes en couleur faisant revivre les spectacles de l’entre-deux guerres, du cirque à l’opéra, et du music-hall au cinéma. Elles sont dues à Jacques Faria, l’affichiste brésilien qui a travaillé pour la société Pathé Frères (entre 100 et 1 500 €). Place à la peinture à 14 h, où une Vierge du Rosaire de l’école de Cuzco, peinte vers 1800 (1 500/2 000 €), fera face à Atala recevant la communion du père Aubry, dans une toile de Pierre-Jérôme Lordon (4 000/6 000 € ). Peint d’après Arthur Wellington Fowles, un vaisseau de guerre fera route au large de l’île de Cowes moyennant quelque 2 500 €. L’ameublement rendra hommage aux styles Louis XV et Louis XVI avec des fabrications du XIX e siècle. Objets de vitrine et argenterie seront comme il se doit au rendez-vous.
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Faria, affichiste
Présentée à Versailles le dimanche 13 décembre (Osenat OVV) , une collection de plus de cinquante affiches,…Lire la suite
L'art pop du jeune artiste britannique Mr Doodle trouve son marché à Hong Kong : deux de ses toiles, Summer et Busy Business , de 2019, y apparaissent estimées entre 8 et 13 MJPY (soit environ 64 000/104 000 €) pour la première, entre 2 et 3 MJPY pour la seconde. Les stars Yoshimoto Nara (40/60 MJPY) et Takashi Myrakami (18/28 MJPY) sont naturellement au rendez-vous, de même que le photographe Masao Yamamoto, dont un certain nombre de clichés sont ici proposés (100 000/150 000 JPY l'un). Remarquons également une toile de l'avant-gardiste Xunqin Pang, un portrait d'une certaine Mrs Denboschu datant de 1965 (35/45 MJPY).
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Entre Orient et Occident
Pang Xunqin (1906-1985) compte parmi les peintres avant-gardistes chinois qui ont nourri leur art d’influences…Lire la suite
La bague « toi et moi » était un bijou de fiançaille à la mode au XIX e siècle. Elle se compose de deux pierres disposées côte à côte, symbolisant les conjoints prêts à s'unir, traditionnellement un diamant et une pierre de couleur. Les deux bagues en or gris et platine dominant cette vente seront quant à elles ornées de deux diamants de taille brillant. L'une est estimée 25 000/35 00 € et l'autre, 15 000/25 000 €. Parmi les autres pièces de la sélection, citons une paire de pendants d'oreilles en ors de deux tons ornés d'une chute de diamants brillant en serti clos retenant deux saphirs taillés en poire, calibrant chacun 2,40 ct (4 500/5 500 €).
Pleins feux sur les arts d'Asie le 12 décembre avec tout d'abord un grand bitong bihai chinois du XIX e sièclee, en bois de zitan sculpté d'une cérémonie taoïste, qui pourrait atteindre les 30 000/50 000 €. Provenant du Tibet, une statuette en bronze doré représentant le bouddha Amitayus assis sur un socle lotiforme, tenant une coupe d'offrande, le visage souriant et coiffé d'un diadème surmonté d'un chignon, se négociera à 20 000/30 000 €. Nous remarquerons encore des porcelaines, des émaux cloisonnés, des peintures dont l'une de belles dimensions fin XVIII e -début XIX e en kesi rehaussée de polychromie sur fond marron, représentant Shoulao accompagné d'un daim (6 000/8 000 €)… Sans oublier des pierres dures avec un écran de lettré XIX e de forme rectangulaire en jadéite veiné de vert, finement sculpté d'une embarcation descendant un fleuve (même estimation).
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Un vase cloisonné d'époque Qianlong
Le thème choisi pour cette vente était l’Asie, etLire la suite
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Un bitong du XIXe siècle en zitan
Un objet de lettré en bois de zitan, voilà de quoiLire la suite
Pleins feux sur les arts décoratifs du XX e siècle avec la vente du 12 décembre, qui sera marquée par une bibliothèque Marduk en aluminium et mélaminé de l'Italien Ettore Sottsass, édité par la Galeria de la Roca vers 1985, aux couleurs vives et à l'impressionnante structure géométrique (voir Gazette n° 43, page 186). S'il faudra envisager 8 000/10 000 € pour celle-ci, 3 000/5 000 € seront demandés d'une série de douze chaises de la fin du XIX e siècle de la maison Krieger, en palissandre, à dossier droit et pieds fuselés, mais aussi pour un lustre italien daté vers 1970 de forme sphérique à pampilles de Murano, dans le goût de Carlo Scarpa. Parmi de nombreuses créations permettant de s'asseoir confortablement, on hésitera entre un canapé attribué à Gio Ponti, édité vers 1950 par Casa et Giardino (3 000/3 500 €), et une paire de fauteuils et ottomans de l'un des pionniers du design suédois, Bruno Mathsson, modèle Perilla édité vers 1970 par Bux Suède, à structure en hêtre et toile tendue de lin (2 500/3 000 €).
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Couleurs Memphis
8 000/10 000 € sont à envisager pour cette création typique du designer italien Ettore Sottsass …Lire la suite
Le 12, la sélection de bijoux et montres dévoile une rare montre de poche en or jaune 18 ct, créée au XVIII e siècle par Caron, fabricant parisien régulièrement sollicité par la famille royale (3 000/4 000 €). D'autres montres de poche sont signées Rocail (2 000/3 000 €), Tissot (800/1 200 €) ou Cyma (1 200/1 500 €). Les amateurs resteront éblouis par un collier de la fin du XVIII e ou du début du XIX e siècle, d'inspiration Renaissance, composé d'une alternance de perles ajourées d'or jaune 18 ct, nielle noir et perles rondes à semi-baroques (10 000/15 000 €). Le second catalogue, au programme le lendemain, se concentre sur des collections belges et luxembourgeoises : on y remarque une Érection de la Croix de Jacob Andries Beschey, d'après Rubens (6 000/8 000 €) et une paire de grands candélabres Empire attribués à Claude-François Rabiat (4 000/6 000 €).
Cette vente verra la dispersion de 350 pièces de haute joaillerie provenant de l'atelier de la maison lyonnaise Joïa, qui fermera prochainement ses portes (voir Gazette n° 43, page 182). Estimées entre 1 000 et 10 000 €, elles illustreront la perfection technique, mais aussi l'inventivité de Jean-Pierre Moreira et de ses quelque trente collaborateurs. On aura le choix entre un collier en or gris aux maillons articulés formant entrelacs sertis de diamants brillant blancs et noirs et retenant de nombreuses tourmalines roses taillées en poire, dont l'une centrale en breloque (10 000/15 000 €), un autre en or gris retenant un disque rond ajouré serti de diamants, présentant un oiseau de paradis au plumage orné de plaques de nacre et de diamants (2 500/3 500 €), mais aussi de nombreuses bagues à tous les prix.
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La maison Joïa ferme ses portes
Tout le savoir-faire de la joaillerie française s’illustreraLire la suite
Près de trois cents lots défileront ce 12 décembre sous la bannière du XX e siècle. Si la plupart d'entre eux sont annoncés à quelques centaines d'euros, d'autres en attendent davantage comme cette enfilade à structure en placage de frêne reposant sur un piétement en métal laqué noir de Charlotte Perriand, éditée vers 1959-1963 par Steph Simon (6 000/8 000 €), et un tapis rectangulaire en laine à décor géométrique polychrome d'après une composition de Sonia Delaunay (5 000/8 000 €). Parmi les nombreux sièges, nous remarquerons ensuite une paire de fauteuils Lady de Marco Zanuso (2 500/3 000 €) et une suite de six chaises Lila Hunter de Philippe Starck en 1988, éditées par XO (1 800/2 300 €).
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Perriand pour Cansado
Charlotte Perriand (1903-1999) a conçu ce meuble (84 x 150 x 45 cm) pour la cité minière de Cansado,…Lire la suite
200 boîtes de cigares de la collection Rémi Guichard, signées par deux cents artistes contemporains parmi lesquels Claude Viallat, Hervé Krass, Jean-Pierre Ceytaire, Clara Castagné ou encore Rice Art, seront dispersées à Saint-Étienne. Les enchérisseurs feront une bonne action puisque les bénéfices iront à l'association Help Doctors.
Ce menu volontiers classique sera mené par un bassin en verre ambré vers 1880-1890 d'Émile Gallé et un vase en verre multicouche au décor dit « à la neige » de chez Daum à Nancy, mais aussi par une anciennce malle cabine formant bar de la marque Starbay, modèle « Nairobi ».
200 à 2 000 €, telle est la fourchette d'estimation annoncée parmi les lettres et les manuscrits ouvrant cette dispersion. Leur succèdent des miniatures, des photographies (dont un ensemble de 55 épreuves du corps expéditionnaire russe en France, 1916, 3 800/4 000 €), des livres et des mémoires, un portrait du Grand-Duc Georges de Russie avec son setter Feldmann, 1888 par Narcisse Bunin (5 000/8 000 €), des cartes, des affiches et des gravures. Des médailles et des décorations prennent ensuite le chemin des enchères, de l'orfèvrerie, des porcelaines, des sculptures et des objets d'art populaire, ainsi que des icônes.
Le samedi 12 se divisera en deux parties, la mode à 10 h 30 et les arts de la table à 14 h. Les horlogers historiques comme Jaeger-LeCoultre, représenté par une « master control geographic » (6 000/8 000 €), côtoieront des maisons de mode comme Chanel et Hermès, dont une série limitée « dressage » en platine est attendue autour de 35 000 €. €. Des malles Vuitton et Goyard ont appartenu à la princesse de Faucigny-Lucinge. Un important ensemble d’orfèvrerie des XVIII e et XIX e siècles, dont un bassin en vermeil par Biennais (1 000/1 200 €), et une soupière en métal argenté par Odiot (1 500/2 000 €), figurera auprès des services en porcelaine, du XIX e siècle par la manufacture bruxelloise Cappellemans ou celle de Sèvres pour Louis-Philippe, par Émile Gallé sur le thème des animaux héraldiques, ou encore Cartier et son modèle « la maison du prince » (de 800 à 2 000 €).
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À la table d’Odiot
Un important ensemble d’orfèvrerie des XVIII e et XIX e siècle sera présenté dans une dispersion consacrée…Lire la suite