Que serait le Japon sans ses tsuba ? Ce périple au pays du Soleil-Levant débute avec un ensemble de gardes de sabre de l'époque Edo, non signés (100 à 500 €), et se poursuit avec des armes dont un shinshinto tanto XIX e en fer incrusté de cuivre doré et de pierres dures (3 000/4 000 €), des vases et des sculptures en bronze dont un groupe d'époque Meiji (1868-1912) à patine brune, finement ciselé, figurant un éléphant attaqué par deux tigres (1 000/1 200 €). Au chapitre des laques et du mobilier, le plus volumineux pourrait être aussi le mieux récompensé, 3 000/4 000 € étant demandés d'un grand cabinet d'époque Meiji en bois naturel ouvrant à sept battants et trois tiroirs, décoré en laque or et inscrustations d'ivoire d'animaux et de personnages. Les inrô – dont une quinzaine de lots venant de la collection d'un amateur –, en laque, d'époque Edo, devraient trouver preneur entre 500 et 1 500 €. Véritables morceaux de sculpture, les netsuke, en ivoire, en os ou en bois, d'époque Edo, devraient en revanche recueillir de 100 à 600/800 €. Les porcelaines, dont un ensemble sorti des fours de Satsuma au XIX e et au XX e (200 à 600 €), ferment la marche.
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