Il faut s'appeler Christophe Fratin, pour mettre une dague dans la patte d'un ours. Son combat de plantigrades en bronze, une rare épreuve des années 1840-1850 (1 800/2 000 €) fera sourire le 15 septembre. Il se mesurera à un Poulain hennissant fondu, grandeur nature (3 000/5 000 €). Toujours généraliste, le rendez-vous du lendemain donnera des envies de v oyages, comme celui de Genève à Milan par le Simplon , relaté par Ostervald en 1811 et illustré par des aquatintes (4 000/5 000 €). Le pittoresque sera également au rendez-vous côté tableaux avec L'Arrivée du colporteur d'estampes , peinte par Jacques-Albert Senave (8 000/12 000 €). Nombre de toiles, notamment signées Amédée Guérard et Jules Zingg, évoqueront les travaux des champs.