Le contenu de cette vente classique est assuré par une propriété du midi de la France, un appartement versaillais et diverses successions. Quelques portraits de l’école provençale d’époque romantique (150/200 € chacun) voisinent aux cimaises avec une Charmeuse d’oiseaux du XIX e (200/300 €), une aquarelle de Constantin Guys, Les Lorettes ou deux femmes au bouquet (1 800/2 500 €), des Péniches à quai attribuées à Albert Lebourg (3 000/4 000 €), une nature morte aux Poires et raisins à Saint Remy d’André Hambourg (2 000/3 000 €). Un bélier en bois sculpté au naturel, travail afghan XIX e (400/600 €), côtoie un tambour en peau et métal d’époque Restauration (200/300 €), des porcelaines de la Compagnie des Indes et chinois (50/300 €), un miroir de Thomas Boog au cadre en coquillage (800 €), une table en noyer à l’italienne XVII e du Sud-Ouest (3 000/5 000 €), une Vierge à l’Enfant foulant le serpent ivoire sculpté en ronde bosse (Dieppe, XVIII e , 1 200/1 800 €). Imposant par sa silhouette, un dressoir en noyer naturel, lyonnais, XVII e , est estimé 1 200/1 500 €, tandis qu’un cartel aux Parques, en marqueterie d’écaille brune, laiton, bois noirci et bronze doré traduit la vogue d’André Boulle à l’époque Napoléon III (2 000/4 000 €).
Articles après-vente
Courbes abstraites
L’image d’un bronze moderne de Dominique Polles, dit Pollès (né en 1945), se reflétait dans un miroir...
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