La treizième vente "Paris mon amour" proposera plus de 550 numéros. Entrée en matière dès 11 h, avec deux toiles de 1853 montrant L'Apothéose d'Hercule , peintes pour le plafond d'un hôtel particulier d'après l'œuvre de François Lemoyne pour Versailles (3 000/4 000 €). Toutes les vues de la capitale se dévoileront aux cimaises et quelques personnages donneront l'ambiance, de la Partie de cartes chez un marchand de tableaux parisiens , peinte par Nathan Grunsweigh (2 000/3 000 €) aux dessins de presse. Le souvenir des expositions universelles ouvrira l'après-midi à 13 h 30, avec la tour Eiffel en vedette. "Plus de microbes" en 1897, grâce aux eaux minérales des entrepôts d'Ivry, vantera une affiche publicitaire de Firmin Bouisset (1 000/1 100 €), face à une colonne Maurice miniature des années 1900 (500/550 €). À la suite de la documentation et d'une sélection de cannes, vous serez invité à prendre place dans le métro ou l'Orient-Express, évoqué par un panneau marqueté de René Prou pour un wagon lit de première classe (environ 2 100 €). Les décors de commerces et d'institutions parisiennes seront le clou du voyage, avec les panneaux de verre sablé sertis d'une armature de fer forgé ayant orné le jardin d'hiver du Grand Hôtel Bergère et Maison Blanche, dans le 9 e arrondissement (autour de 61 000 €), mais aussi les panneaux de cuivre repoussé racontant l’histoire de l’Angleterre, ayant décoré le pub Saint-Germain-des-Prés des murs au plafond (70 000/71 000 €).
Articles avant-vente
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Des fontes d’art du XIX e siècle au fer forgé art
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