Cinq bronzes issus de l'art sino-tibétain ou tibétain du XVI e au XIX e siècle marqueront cette vente, d'autant qu'ils proviennent de la collection du Baron de M. qui fut administrateur des douanes en Chine dans les années 1920. Au plus haut, à 30 000/50 000 €, sera présenté un bouddha Mahavairocana en bronze anciennement laqué et doré issu d'un travail sino-tibétain du XVI e siècle (Voir Gazette n°3 page 90). On signalera encore un sujet en bronze doré représentant la bodhisattva Vajradhara en padmasana sur un double lotus réalisé au Tibet au XVIII e siècle (5 000/7 000 €). Alentour, dans ce programme, un mobilier de salle à manger art nouveau réalisé par la maison Édouard Diot en noyer mouluré et sculpté à décor végétal stylisé, pommes et branches de pommier (1 500/2 500 €), ou encore un groupe en faïence émaillée crème de Douai de la fin du XVIII e , figurant Hercule revêtu de sa léonté combattant l'hydre de Lerne (1 500/2 000 €).
Articles après-vente
Préemption par le musée de Douai
Ce groupe en faïence crème émaillée représente Hercule revêtu de sa léonté, combattant l’Hydre de Lerne...
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Un panthéon de divinités sino-tibétaines
Empruntant les formes chantournées de plusieurs bodhisattvas,
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Articles avant-vente
Bronzes sino-tibétains
L’art sino-tibétain s’invite à Douai grâce à plusieurs
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