Peintures et meubles se disputeront la tête de cette affiche avec d'un côté notamment une étonnante Scène de sabbat dite aussi La Cuisine des sorcières , de l'atelier de Frans II Francken dit le Jeune (8 000/12 000 €), et de l'autre une enfilade 29A du designer danois Arne Vodder, en bois exotique et stratifié de couleur, éditée par Sibast en 1957 (5 000/8 000 €). Les collectionneurs de tableaux auront le choix également entre deux natures mortes XVIII e de l'atelier de Jacques-Charles Oudry, Chien gardant un trophée de chasse et Coq et poule autour du nid (6 000/8 000 €), et une scène orientaliste d'Édouard Verschaffelt, dépeignant Deux femmes algériennes avec enfant (8 000/10 000 €)… sans oublier la réinterprétation par Maurice Poirson d'une fable de La Fontaine, L'Homme qui court après la Fortune et l'homme qui l'attend de son lit, à envisager à 3 000/4 500 € (voir Gazette n° 1, page 94). On remarquera pour les meubles d'autres créations scandinaves, mais aussi un mobilier de salle à manger art nouveau modèle Chicorée de Louis Majorelle (3 500/4 500 €) et un rare régulateur de parquet d'époque Louis XV signé par Charost à Paris, en placage de bois de violette et bronzes dorés (6 000/8 000 €).
Articles après-vente
La cuisine des sorcières, façon Frans Francken II
Beaucoup d’agitation dans cette pièce noircie où s’affairent
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Quand Poirson réinterprète La Fontaine
Présenté au Salon de 1870 sous le numéro 2309, ce
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