Plus que les tableaux, les miniatures méritent ici le détour dont un bel ensemble de Jean-Baptiste et Eugène Isabey provenant de leur descendance directe. On signalera tout particulièrement un portrait de l'impératrice Marie-Louise monté sur une boîte en corne (2 000/3 000 €), un autre d'Eugène de Beauharnais (meme estimation) et celui d'une Jeune femme assise devant une croisée (2 000/3 000 €). C'est entre 100 et 1 200 € que devrait trouver preneur un ensemble d'œufs pendentifs en or et émail (travail moderne), et à hauteur de 4 000/6 000 € qu'est espéré un Chandelier aux philosophes, 1997 en argent martelé repoussé et incrusté d'œil de fer de Goudji (pièce unique). Il sera difficile enfin de manquer une commode à portes de la fin du XIX e , en acajou et riche décor de bronzes dorés, l'original d'une paire ayant été exécutée par Guillaume Beneman et Joseph Stockel en 1786 pour le Salon des jeux de Marie-Antoinette à Fontainebleau (10 000/15 000 €).
Articles après-vente
Isabey, grand miniaturiste
Ce tout petit Portrait de SAR Eugène de Beauharnais (3,4 x 2,4 cm) était le fleuron le plus impérial…
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Articles avant-vente
Miniaturiste sur ivoire
Estimée 2 000/3 000 €, cette miniature fait partie d’un ensemble d’œuvres de Jean-Baptiste Isabey…
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