L.S. en partie aut. à son ministre Estanislao Vergura. Guayaquil, 10 septembre 1829. 2 pp. bi-feuillet in-4 (14 lignes aut.); en espagnol
Importante lettre politique du dictateur, peu avant la signature du traité de paix avec le Pérou. Bolivar est heureux de voir les résultats de l'élection qui assure une bonne majorité au Congrès constituant. Il pense que c'est la meilleure assemblée que puisse se doter la Colombie et qu'un tel organisme ne peut qu'agir pour le bien dans les circonstances actuelles, etc. Bolivar ajoute de sa main qu'il a toute confiance en l'officier négociateur du Pérou, qui est son ami intime. Il demande d'indiquer le lieu de Bogota sur la consulte, et la date qu'il décidera sur le parchemin.
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