Fernand Léger. Manuscrit autographe signé. Paris, s.d.; 2 ½ p. in-4 sur papier chamois.
«J'ai connu Léger à Vézelay chez l'architecte Badovici qui lui avait demandé de venir peindre un mur, un mur sans vie qui bouchait toute vue... Léger était venu et avait anéanti pulvérisé le mur sous le rugissement de la couleur et dans le jeu des valeurs, quelques objets simples et gracieux restaient pris et exprimaient toute la puissance de leur volume magique... Guillaume Apollinaire disait: «Quand je vois Léger je suis content»»
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