La Corrida du 1er mai, manuscrit autographe, circa 1952; 3 pages in-4 et 1 page in-8.
[...] «Ce livre espagnol me semble incomplet si je n'y ajoute l'improvisation prise au magnétophone par l'organisateur de l'exposition
Picasso à Rome en 1953. Picasso et moi, nous avons assisté côte à côte à trop de courses graves ou plaisantes pour que son nom ne vienne prendre naturellement place à côté de ceux de Manolete et de Lorca.
Puisque Mahomet ne peut aller à la montagne, la montagne doit venir à Mahomet...
Et me revient la phrase de Potomak dans ma jeunesse: «j'aurai pu écrire la Marseillaise ou Plaisir d'amour, j'écris ce texte rien ne change... Une vaste courbe... Et des rides qui sont mes cicatrices glorieuses.»
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