Lettre autographe signée.
Deux pages in-8, 26 juillet 1897. Intéressante lettre à un ami au sujet de la traduction en anglais d'Aphrodite. «Vous avez su peut-être par nos amis que j'ai été cet hiver très malade à Alger et vous avez excusé mon silence tristement involontaire. L'Honneur que vous m'avez fait d'écrire mon nom en tête d'un chef d'oeuvre m'a couvert de confusion...Vous m'avez d'ailleurs doublement honoré cet hiver, puisque, vers la même époque, vous me proposez de traduire mon livre Aphrodite. Je vous explique pourquoi je croyais la tentative impraticable, mais d'autres n'ont pas été de mon avis, puisque la voleuse Amérique publie en ce moment une Aphrodite en anglais, version contre faite et misérable...Faites que la seule traduction anglaise ne soit pas cette version yankee dont on me menace ! Le volume serait publié au Mercure de France et vous seriez seul maître des conditions, cela va de soi.».
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