L.A.S. au poète René Lacote, Saint Benoit sur Loire, 24 juin 1942, 1 p. in-4.
Belle lettre: «La grandeur indéniable de ce nouveau poème te donne la place que tu mérites depuis
Longtemps, et la consolation de ta grande tristesse foncière...Ton talent est pétri de cette silencieuse détresse unie à un si profond amour des hommes. De quoi te plaindrais tu si l'accent de franchise vraie qui est dans ton vers vient justement de ce que la blessure a touché ton coeur lui-même (oh combien rare!)...».
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