Théodore de BANVILLE. Poème autographe signé, La Plainte de Sapho, 17 mars 1872 ; 1 page et demie in-fol., avec quelques ratures et corrections.
Beau poème, non recueilli, en volume de 8 quatrains.
« Entends encor pleurer ma lyre,
Caverne sombre où dort l’écho
Et toi, que l’ouragan déchire,
Ô mer, entends gémir Sapho ! »...
Ancienne collection Daniel Sickles [XIX, 8130].
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