Théodore de BANVILLE (1823-1891). 5 L.A.S., 1859-1876 ; 6 pages in-8.
[Début 1859 ?], [à Poulet-Malassis] : « Si vous êtes à Paris sachez si les exemplaires [Esquisses parisiennes] ont été envoyés, si les deux en question ont été donnés à relier, si la mise en vente a été faite. […] je souffre et je m’inquiète beaucoup. [...] Plus que jamais je voudrais savoir ce que j’ai, car en étudiant ma maladie, il me semble bien qu’on se trompe »...Bellevue 9 octobre 1859, au président de la Société des Gens de Lettres [Francis Wey], demandant un prêt de 100 francs, pour remédier à « l’état de gêne où me maintient mon interminable maladie [...] mes confrères m’ont donné assez de bienveillante sympathie pour que j’ose compter encore une fois sur leur appui »... 20 août [1866, à Arsène Houssaye] : il va bientôt lui envoyer « un article sur quelques poètes : Brises d’Orient, Mérat, Ch. Diguet »... Paris 23 août 1869, au poète Émile Kuhn, dit Job-Lazare, faisant l’éloge de ses recueils Roses et Chardons et Les Rafales, bien qu’« en vieux classique » il ait relevé quelques incorrections de rimes... « Victor Hugo le maître des maîtres est celui qu’il faut toujours consulter en fait de rimes ; Les Contemplations et La Légende des siècles doivent être nos évangiles ! »... 16 mars 1876, réponse à des condoléances après le décès de sa mère (6 mars) : « Ma douleur [...] est bien grande, car je dois tout sans exception à cette mère adorée que j’espère aimer et garder en moi toujours »...
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