Manuscrit autographe; 5 pages obl. in-4. Sur Wagner, Liszt et Berlioz. Il n'hésiterait pas à identifier "la phrase capitale" qui s'impose avant toute lecture de la Tétralogie wagnérienne; et il cite une lettre à Liszt du 2 mai 1854... "Or le même jour - 2 mai - Berlioz quittait Dresde où la Damnation (encore inédite) avait été accueillie, le 22 avril, par une immense acclamation. Les musiciens devant toute la salle, avaient embrassé Berlioz. Le triomphe de Berlioz avait éclaté en Saxe, dans le pays natal de Wagner, - et sous la faveur du roi qui maintenait Wagner en exil - et dans la salle même où Wagner était Kappelmeister de droit; - et l'ami intime de Berlioz, l'artiste qui soutenait, réconfortait Berlioz, l'admirateur invariable qui avait tant fait pour un tel triomphe, c'était l'homme dont Wagner adorait l'amitié; - c'était Liszt."
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