Réunion de 11 lettres autographes, signées à l'écrivain portugais Luiz Forjaz Trigueiros. 1948; env. 22 pages in-8 ou pet. in-4; joint une photographie (1940) avec son correspondant, et une enveloppe. Intéressante correspondance littéraire et amicale. "J'ai écrit de France à Osorio de Oliveira et à la maison Inquerito au sujet de la traduction de Silbermann. Je voudrais que la maison renonce à ses droits sur mon ouvrage qu'elle semble avoir oublié...et j'aimerais aussi connaitre un peu les comptes de la Bonifas." - "J'ai été très fier de me voir en si bonne place dans votre journal... Vous l'avez vu nos élections ont marqué une vive réaction contre le communisme stalinien. Et en d'autres pays aussi. Comment en serait-il autrement! La mauvaise foi et l'ambition démesurée ont perdu Hitler. Elles perdront pareillement Staline. Et ce n'est pas parce que l'on travaille dans une mine ou à la terre qu'on est dépourvu de bon sens. C'est ce que nos ouvriers viennent de démontrer". Joint une l.a.s et une carte a.s. de Francis CARCO au même: "Dans quelques jours je vous enverrai un nouveau livre". - Je vous remercie bien sincèrement mais je ne parle pas votre langue et il m'est bien difficile de vous donner mon opinion sur le texte que vous m'avez envoyé. J'en suis confus".
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