Notre calendrier des enchères recense les ventes à venir en France et à l'étranger, triées par date, lieu de vente, maison de ventes et/ou spécialité. Vous pourrez y retrouver les catalogues et accéder directement à la vente grace au bouton "Enchérir". A consulter également à partir de cette page les articles publiés par le magazine en lien avec chaque vente.
396 lots, estimés entre 15 et 4 000 €, composent un sommaire constitué de céramiques, orfèvrerie, verreries et mobilier. Il faudra prévoir 3 000/4 000 € pour un service de table de 87 pièces en porcelaine blanche de la compagnie Raynaud à Limoges, datées vers 1960-1970, à décor d'une large frise or de rinceaux feuillagés, polie à l'agate. Une partie de service de table de 48 pièces en porcelaine blanche Hermès daté vers 1980, à décor polychrome de toucans, pourrait s'envoler à 2 500/3 000 €. Citons enfin une jardinière de table ovale en vermeil de style Louis XVI datée vers 1880, par Roussel Fils & Cie, à décor partiellement ajouré de guirlandes de fleurs sur fond de cannelures et de moulures de perles, la doublure amovible étant en cristal bleu de Baccarat : prévoir 1 500/2 000 € pour son acquisition.
Début de la journée à 11h, avec une centaine de lots provenant du professeur Alain Patel, un chirurgien orthopédiste ayant collectionné des objets médicaux. Une partie de ses canards et biberons de malade, du XVIII e à nos jours, provenant de diverses régions françaises ou d’Asie, seront proposés entre 50 et 300 €. Mortiers et pots à pharmacie introduiront la Haute Époque à 14 h. Il faudra prévoir environ 7 000 € pour un rare cassone orné d’armoiries, encadrés par des aigles posés sur des vases dans un décor de rinceaux : il s'agit d'un décor en pastiglia réalisé dans l’Italie du Nord au XV e siècle. Il se se mesurera à un cabinet indo-portugais du milieu du siècle suivant, fleuri de marqueteries d’ivoire (environ 11 000 €). Une section asiatique se placera ensuite sous la bénédiction d’un lama chinois du XVIII e siècle, en alliage de cuivre en partie doré (15 000/18 000 €).
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Coffret indo-portugais
Goa, Cochin, Gujarat, Thane et jusqu’à l’Inde du Nord, où a été fabriqué ce coffret du milieu du XVII...Lire la suite
Les 25 volumes de texte et 11 in-plano de la Description de l'Égypte , appartenant à la seconde édition imprimée par Panckoucke entre 1821 et 1830, se négocieront à 20 000/30 000 €. On passera à la section numismatique avec un statère d'or des Parisii de la région parisienne au I er siècle avant J.-C., à disputer à 3 000/4 000 €. Signalons enfin la présence d'une lithographie à la pointe-sèche et aquatinte rehaussée d'aquarelle à la main par Salvador Dalí, évoquant Hélène et le cheval de Troie : comptez 1 000/1 500 €.
Les historiens ne manqueront pas le serment prêté par Isabeau de Bavière, régente du royaume, sur une miniature du premier quart du XIV e siècle (3 000/5 000 €). Confortablement installés dans un canapé ou une suite de six fauteuils à dossiers plats en bois doré d’époque Louis XVI (5 000/8 000 €), vous vous perdrez dans la perspective d’un Paysage de rivière animé de lavandières par Étienne Allegrain, à la fin du XVII e siècle (7 000/10 000 €), en attendant que sonne une pendule à l’Amour à double patine d’époque Louis XVI, attribuée à Jean-Joseph de Saint-Germain. Assis sur un coussin, son enfant potelé est accoudé au cadran signé Julien Le Roy (15 000/20 000 €). Deux sections seront consacrées à l’Extrême-Orient et aux arts de l’Islam. Moyennant quelque 1 500 à 2 000 €, un Bébé Jumeau se mesurera à une poupée parisienne en fin d’après-midi.
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Isabeau de Bavière, régente
Proposée entre 3 000 et 5 000 € en salle 14 à Drouot, jeudi 28 mars ( Audap & Associés OVV . M. ...Lire la suite
Une Rolex Cosmograph Daytona « APH » en acier mat et poli, référence 116520 vendue en 2010, partagera la vedette, à 18 000/22 000 €, avec une bague en or gris sertie d’un diamant solitaire rond demi-taille pesant 4,65 ct (L, SI1). Une autre, ornée d’un diamant rectangulaire à pans coupés de 4,07 ct (F, VS2), entouré de quatre diamants rectangulaires ou trapèzes, se glissera au doigt pour 15 000/20 000 €. Du XIXe siècle, un médaillon pendentif orné d’un camée en haut-relief représentant le portrait de Michel-Ange de profil, signé Santarelli, est évalué 7 000/10 000 €. Très approchant, un autre profil de Jean Racine signé Girometti changera d’écrin pour 2 000/3 000 €.
Le plus disputé d'une vacation comprenant 270 numéros, dont les plus modestes sont estimés quelques dizaines à centaines d'euros, est un manuscrit de travail complet de Paul Valéry de son Cimetière Marin , soit 9 pages petit in-4°. Inspiré par le cimetière de Sète, l'ouvrage fut publié le 1 er juin 1920 dans la Nouvelle Revue Française , ce chef-d'œuvre poétique ayant fait l'objet d'une longue maturation, avec plusieurs versions successives. Il est estimé 8 000/10 000 €. 6 000/8 000 € sont prévus d'une longue lettre de Gustave Flaubert (2 janvier 1854) à Louise Colet sur Madame Bovary , Victor Hugo, avec une virulente diatribe contre le peuple et le bourgeois, mais aussi d'une missive (2 pages) de Jean-Jacques Rousseau à son ami libraire Nicolas Duchesne à propos de ses œuvres, datée du 26 février 1764. Elles sont accompagnées de pages de Jacques Benoist-Méchin, Henri de Toulouse-Lautrec, Giorgio De Chirico, Gustave Eiffel, Marie Curie, Eugène Delacroix, Nicolas Rétif de La Bretonne, Jacques Lacan…
Un volume in-4° des œuvres posthumes de Spinoza, Opera postuma. Quorum series post praefationem exhibetur, relevant de l'édition originale imprimée à Amsterdam en 1677, dominera les estimations à 2 000/3 000 €. Parmi ces nombreux livres anciens provenant de la bibliothèque d'un séminaire normand, nous retiendrons encore L'Afrique de Marmol... avec l'histoire des Chérifs de l'édition originale de la traduction de Perrot d'Ablancourt de 1667 à Paris, par Louis Billaine (1 500/2 500 €).
Édouard Pignon, Charles Lapicque, Roger Muhl, Pierre Lesieur, Yves Brayer, Jean Fusaro, Alexandre Sasha Garbell, André Cottavoz, Charles Walch, Pierre Doutreleau, Puzant Topalian, Gerardiaz, Henri Dechanet, Roger De Coninck… sont quelques-uns des artistes dont on pourra s'offrir les tableaux, abstraits ou figuratifs, moyennant quelques dizaines à 3 000/4 000 €.
5 000/7 000 € sont attendus d’une montre de dame en or gris Patek Philippe, sertie de diamants taille brillant. Une table de voyage Pippa grand modèle en poirier naturel, "Roger Dumas pour Hermès" (4 000/6 000 €), voisine avec son petit modèle (2 000/3 000 €). Des carreaux d’Iznik du XVII e siècle en faïence siliceuse à décor de motifs floraux polychromes s’échangeront contre 2 500/3 500 €.
Avec 156 lots, les objets chinois occuperont plus de la moitié de cette vente asiatique. Deux vases sont en vedette : un modèle en forme de maillet, fabriqué dans les fours de Longquan au XIII e siècle, et dont les anses ont la rare particularité de figurer des carpes dragons (20 000/30 000 €), et une paire de vases balustres de la période Daoguang, accueillant des héros tirés du recueil Wu Shang Pu sur leurs panses (15 000/20 000 €). Parmi la cinquantaine de lots consacrés au Japon, figurent un coffret d’époque momoyama de type namban et un cabinet laqué de la période Edo (autour de 11 000 € chacun). Montrant Prajnaparamita, un rare ensemble de couvertures d’un manuscrit bouddhique, en bois sculpté et doré au Tibet, au XV e siècle, est attendu autour de 9 000 €. Porté par les moines danseurs, un masque polychrome du XVIII e siècle, figurant une divinité montrant les crocs, évoquera lui aussi l'Himalaya (10 000/12 000 €). Le Vietnam fermera la marche.
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Les 40 héros de la Chine sur porcelaine
Décrits par le Wu Shuang Pu , publié sous le règneLire la suite
Parmi les lots les plus prisés figureront une bague en or jaune ornée d'une tanzanite de 29,61 ct de taille coussin facettée (15 000/18 000 €), et un collier rivière voyant alterner, sertis clos et de taille brillant, 28 diamants blancs sur or blanc, 28 diamants bruns sur or rose et 28 diamants jaunes sur en or jaune pour un total de 16,80 ct environ (8 000/10 000 €). Les montres parferont cette sélection. 8 000/10 000 € sont annoncés pour une « Panthère Cougar » pour dame de chez Cartier, en or jaune et à cadran bleu, ainsi que pour un autre modèle féminin, une « Oyster Perpetual Datejust » de la maison Rolex.
On notera la présence d'une grande peinture de l'école anversoise vers 1590 d'un suiveur de Dirk de Quade Ravesteyn : représentant Vénus bandant les yeux de l'amour , l'œuvre est de grande qualité, notamment pour la figure de la déesse, très élancée, et le raffinement de son vêtement ainsi que de sa parure, détaillés avec virtuosité. Il faudra envisager 6 000/8 000 € pour l'acquérir, tandis que 3 500/4 500 € sont attendus de La Conversation amoureuse, attribué au peintre du XVII e Hieronymus Janssens, dit le Danseur. Un grand triptyque à l'aquarelle du peintre moderne breton Ernest Guérin, Notre-Dame de la Joie, Saint-Guénolé, avant l'office , devrait quant à lui atteindre 12 000/15 000 €. On remarquera par ailleurs un bureau-écritoire à plateau rideau découvrant un caisson à fond mobile et un encrier de Claude-Charles Saunier, en marqueterie de bois de rose, amarante et bois clair (5 000/8 000 €), et une pendule « à la bacchante » de l'époque Louis XVI en bronze à deux patines, aux amours ailés chevauchant deux boucs (3 000/4 000 €).
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Raffinement maniériste à Anvers vers 1590
Vénus bandant les yeux de l’Amour est un thème mythologiqueLire la suite
Composée d'une soixantaine de lots, cette dispersion est organisée au profit de l'association Play again qui aide les personnes à pratiquer des activités physiques ou sportives après leur traitement, pour le cancer notamment. Une centaine à plusieurs milliers d'euros seront suffisants ou nécessaires pour emporter des souvenirs de rencontres et des trophées de sportifs. Un maillot du XV de France 2023 signé par tous les joueurs ayant participé à la Coupe du Monde l'an dernier (750/1 000 €) partage la soirée avec une balle Wilson utilisée au tournoi de Roland Garros en 2023 et signée par Gilles Simon (100/150 €), un maillot Nike (2023) dédicacé par Rafaël Nadal (5 000/6 000 €), un tee-shirt Tour de France dédicacé par Yannick Noah, parrain de l'événement (2023, 180/220 €), un judogi de l'équipe de France dédicacé par l'équipe de France homme (3 500/4 000 €), une raquette Wilson dédicacée par Novak Djokovic à l'occasion de l'Open d'Australie 2008 (5 000/6 000 €). Une enchère entre 15 000 et 20 000 € pourrait couronner un maillot de match 2019, ligue des Champions porté et dédicacé par Kylian Mbappé PSG.
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Le sport pour la bonne cause
Cette vente caritative, organisée en partenariat avecLire la suite
L'histoire des monnaies défilera, à commencer par les pièces plus anciennes avec un aureus de Neron (54-68) montrant recto verso l'empereur et la Concorde assise (3 500/6 000 €), ou un denier de Charlemagne (768-814) frappé à Avignon (3 500/5 500 €). Les plus désirées seront toutefois médiévales avec des lots remarquables tel un pavillon d'or frappé en Aquitaine à l'époque d'Édouard le Prince Noir (1362-1372), à empocher contre 7 000 à 14 000 €. À 3 000/5 000 €, c'est une pièce espagnole de 8 escudos (1729, Séville) et de Philippe V (1700-1746) qui trouvera preneur, suivie par un double louis d'or (1640, 13,4 g) du règne de Louis XIII, estimé 2 500/4 000 €.
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Monnaie impériale sous Néron
C’est bien le profil du célèbre empereur romain Néron (37-68) que l’on reconnaît, tête laurée, sur l’avers...Lire la suite
Rien que de très classique s'annonce dans cette vente où un plat à suspendre en céramique polychrome de Théodore Deck, Coq parmi les pavots et les asters (vers 1880, 3 000/5 000 €) précède des luminaires de Jean Perzel (2 000/3 000 €), de la verrerie italienne des années 1950 et des créations françaises (Guido Gambone, Fulvio Bianconi, Étienne et Antoine Leperlier, Claude Monod, Jean-Paul Raymond), deux plats en céramique de Jean Cocteau (2 000/3 000 €), une suite de sept chaises de Charlotte Perriand (modèle Méribel , 4 000/6 000 €) ; sans omettre du mobilier (Jean-Claude Maugirard, Jean-Marie Massaud, Bernard Govin) provenant de la collection de l'historienne de l'art Gladys Fabre.
Un sommaire classique est annoncé pour cette dispersion dont les 66 premiers lots sont présentés à 11 h, les suivants à partir de 13 h. Mentionnons la présence de montres de poche et montres-bracelets et d'un important ensemble de tasses à vin en argent. Parmi les bijoux, les plus prisés pourraient être un collier bayadère composé de 14 rangs de perles fines en chute retenant deux pompons surmontés d'une perle fine baroque (7 000/8 000 €), une broche plaque pavée de Paul et Raymond Templier des années 1930 (non signée), pavée de diamants (en serti clos) de taille ancienne et demi-taille (10 000/15 000 €), un clip de revers Cercle de chez Van Cleef & Arpels, à fermeture magique, habillée de diamants baguette et ronds brillantés, d'époque art déco (5 000/7 000 €).
Le premier jour – jeudi 28 mars – est consacré aux bijoux, dont les estimations oscillent d'une centaine à 5 000 € environ, le second aux montres, aux objets de vitrine, à l'orfèvrerie ancienne et à l'argenterie moderne. Notez un chronomètre de marine de Charles Auguste Berthoud (1798-1876) à 8 jours de réserve de marche, à boîtier en laiton, cadran argenté (deux cadrans auxiliaires décentrés), conservé dans un coffret en acajou (3 000/5 000 €) et des ouvrages sur l'horlogerie provenant de la famille de Ferdinand Berthoud.
Durant trois jours à l'hôtel Martinez, de grands vins et alcools seront mis sous le feu des enchères. 650 lots occuperont le sommaire du vendredi. Les estimations iront de 40/50 €, pour une demi-bouteille de cognac X.O NM Hennessy, à 4 400/5 400 € pour deux bouteilles de montrachet 2015 du domaine Jean-Claude Ramonet. Les bourgognes seront encore présents, avec deux richebourgs 2006 du domaine de la Romanée-Conti (4 200/5 000 €), mais on aura également le choix entre trois bouteilles de champagne extra-brut premier cru 2010 de Jacques Selosse (3 500/4 000 €) et un petrus de 1982 (2 300/2 800 €).
Une photographie de Coluche sur sa moto , prise en 1986 – quelques mois avant sa mort – par le photographe du Festival de Cannes Cory Maier (200/300 €), sera vendue au profit des Restos du cœur. Dans ce programme par ailleurs éclectique figureront encore un casque grec du V e -VI e siècle av. J.-C. en bronze à patine verte, modèle corinthien avec nasal et protège-joues (5 000/7 000 €), une table de salle à manger du modèle Tulip d'Eero Saarinen, en fonte d'aluminium et marbre blanc veiné (2 000/3 000 €), sans oublier un Portrait de femme au fichu d'un artiste de l'école française du XVIII e (1 500/1 800 €).
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Pour Les Restos
Le vendredi 29 mars, à Aix-en-Provence ( Sophie Himbaut OVV ), sera vendu au profit des Restos du Cœur,...Lire la suite
Provenant des anciennes collections Nguyen Huu-Hao et Lê Phat Dat, et celle de Gustave Fayet, des porcelaines de Chine, du Japon, de Chine pour le Vietnam précèdent de l'archéologie et quelques pièces de Haute Époque, des faïences du Midi de la France et étrangères, des tableaux des XIX e et XX e siècles.
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De Saïgon à Paris en passant par Fontfroide
Les porcelaines de Chine exécutées pour le VietnamLire la suite
Estimé 6 000/8 000 €, un panneau de l'école anversoise de la fin du XVI e siècle, Les Noces de Tobie et de Sara côtoie un Portrait de Marie Thérèse de Savoie Carignan par Karl Anton Hickel (30 000/50 000 €) et un ensemble d'estampes (nus, chats, etc.) de Léonard Tsuguharu Foujita provenant de la collection de Victor et Gretha Arwas (est. 500 à 5 000 €). La vedette en cimaises toutefois est une Composition abstraite 56-84 de Serge Poliakoff de 1956, pour laquelle 200 000/300 000 € sont demandés (voir page…). Sans transition on poursuit avec un poids de pêche Eskimo (époque Thulé classique) représentant une baleine en dent de morse (1 500/2 000 €), des céramiques de Kütahya, deux bézoards de ruminant début XX e (2 000/3 000 et 1 000/1 200 €), des statuettes en porcelaine de Meissen XVIII e (200/400 €), des figurines militaires (en porcelaine également, mêmes estimations), une épreuve en bronze à deux patines (médaille et doré) du Gloria Victis d'après Antonin Mercié (8 000/10 000 €), un bonheur-du-jour en placage d'acajou et loupe d'orme, signé Henry Dasson et daté 1878 (6 000/8 000 €).
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Dans l’intimité de la princesse de Lamballe
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Un tableau de Serge Poliakoff inédit sur le marché
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Spécialité de la maison, cette vente d'art russe est emmenée par un exemplaire du premier recueil des Poèmes de Mikhil Lermontov (Saint-Pétersbourg, 1840), soit 28 œuvres rassemblées dans un carnet, habillé d'une reliure postérieure en demi-cuir et pour lequel pas moins de 70 000/80 000 € sont espérés. Dans un tout autre registre, ce sont 8 000/12 000 € qui sont demandés d'une technique mixte en relief de Vladimir Yankilevsky (1938-2018), Le Torse n°1 (le Torse bleu), 3 000/5 000 € d'une toile de Nicolas Krimov, Les Baigneuses, 1914 , 4 000/6 000 € d'une partie de service à thé en argent vermeillé par P. Ovchinnikov dans le style art nouveau, inspiré par les laques japonaises. Sollicités également, les amateurs de militaria surveilleront notamment deux casques, l'un d'officier du régiment de cuirassiers de la Garde impériale, décoré d'une aigle bicéphale en métal argenté (XIX e , 8 000/12 000 €), l'autre à pointe, d'un général d'artillerie, orné d'une plaque Pour la bataille de Philippopolis, les 3, 4 et 5 janvier 1878 (6 000/8 000 €).
Le lever de rideau revenant aux bijoux, les tableaux anciens et XIX e prennent la suite, parmi lesquels un Portrait d'homme de l'école florentine vers 1560 (12 000/15 000 €) et une toile d'Eugène Boudin vers 1885-1890, Entrée du port de Trouville ayant fait partie de la collection Adolphe-Henry Paris et conservé dans sa descendance (35 000/40 000 €). Place ensuite au mobilier du château de Sassy dans l'Orne (voir Gazette n° 11, page 26), mais aussi à une aquarelle et encre de Chine de Jean-Jacques Sempé, New York, pause déjeuner entre hommes et femmes, 1985 (10 000/12 000 €), et à des sièges de Jean Prouvé provenant de la Chambre syndicale de la sidérurgie à Paris.
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Fauteuil «Direction» de Jean Prouvé ? Inoxydable !
Invariablement, les œuvres de cette figure de l’aventureLire la suite
Estimé 30 000/50 000 €, un groupe de l'I mmaculée conception en ivoire sculpté de l'artiste franc-comtois, actif à Naples et en Espagne, à la fin du XVII e , Claude Beissonat, interpelle par sa virtuosité (voir Gazette n° 11, page 6). Étonnant aussi un bas-relief en marbre blanc de Carrare, L'Enlèvement des Sabines , n'a pas encore livré tous ses mystères quant à son auteur, français ou italien, et son époque, XVI e ou XVII e . Il est estimé 8 000/10 000 €. Plus classique mais néanmoins intéressant, on a noté un paysage d'Eugène Boudin, Côte du Finistère, bateaux de pêche (vers 1854-1857, 7 000/10 000 €), des toiles de Maurice de Vlaminck, André Lemaître, Luigi Corbellini… provenant de la collection L. (voir Gazette n° 10, page 12), une huile sur carton de Frantisek Kupka, Allégorie de l'automne (25 000/35 000/35 000 €). De la collection Dina Vierny, un ensemble de poupées et figurines en porcelaine russe vers 1900 précède un chapitre glyptique, des bijoux, du mobilier et deux tapis, l'un d'Ispahan (vers 1900, 7 000/10 000 €), l'autre Tebriz Djaffer de la même époque (8 000/12 000 €).
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La gourmandise est un joli défaut
600/800 € sont demandés de ce pittoresque encrier en porcelaine polychrome et or de Paris, de la seconde...Lire la suite
Les Sabines sur un mystérieux bas-relief en marbre
Il est des œuvres énigmatiques, et celle-ci en estLire la suite
Une Vierge en ivoire du XVIIe siècle de Claude Beissonat
D’une virtuosité technique incomparable, cet objetLire la suite
Quatre tableaux de Vlaminck qui reflètent une histoire d’amitié commencée à vélo
Une vingtaine de tableaux modernes, emmenés par desLire la suite
Débutant avec des ouvrages anciens, notamment sur les sciences et l'histoire naturelle, on tentera sa chance sur une édition originale de l'ouvrage de Pierre Bulliard, Herbier de la France… (Paris, 1787, 4 volumes, 3 000/4 000 €), un exemplaire de l'édition la plus complète des Plantes de la France décrites et peintes d'après nature par Jaume Saint-Hilaire (Paris, 1819-1822, 10 volumes), illustré de 102 planches (5 000/6 000 €), une édition originale du Traité élémentaire ou Principes de physique de Mathurin-Jacques Brisson (Paris, 1789, 3 volumes), ornée de 46 planches et habillée de maroquin aux armes de la reine Marie-Antoinette (3 000/4 000 €), une seconde édition de Palais, maisons et autres édifices modernes dessinés à Rome de Percier, Fontaine, Bernier et Dufourny (Paris, 1802), reliée en maroquin rouge et provenant de la bibliothèque des tsars au palais de l'Ermitage (20 000/30 000 €). La suite de l'après-midi revient à des livres, cartes postales, imprimés, manuscrits, estampes et diplômes maçonniques des XVIII e et XIX e siècles (est. 100 à 10 000 €).
Une escapade en Bretagne, ça vous dit ? Maxime Maufra plantait son chevalet dans le Finistère Sud en 1904, et réalisait notamment cette vue de la Plage au soleil à Beg Meil . Comptez 20 000/30 000 € pour en profiter. Johann Barthold Jongkind lui préférait l'hiver en Hollande et des Patineurs sur un canal, 1863 (15 000/25 000 €), Albert Lebourg, un panorama de L'Ile de la Cité à Paris (6 000/9 000 €), Camille Hilaire, le Rio San Barnaba à Venise (4 000/7 000 €). D'Achille Laugé, un carnet comprenant 40 dessins (une majorité à la plume et à l'encre noire) de paysages est espéré à 3 000/5 000 €, de José Maria David, un Guépard en bronze à patine vert clair nuancé de blanc (EA 1/4, fonte Maromer) bondira à hauteur de 12 000/18 000 €.
Enchère à cinq ou à six chiffres ? Il faudra attendre quelques jours et lever la main à hauteur de 70 000/100 000 € pour Totem d'acrobates de 1987 de Keith Haring, une sculpture en émail rouge, vert et jaune sur métal (5/6, édition Daniel Templon). Une composition (non titrée) de Jean-Michel Atlan, de 1958, est attendue à 45 000/55 000 €, une sérigraphie en couleurs (53/85) d'après Jean-Michel Basquiat, Rome pays off, from Portfolio II, 2004 entre 40 000 et 60 000 €, Rouge orange du rideau de Hong Kong de 1989 d'Olivier Debré et une gouache et encre d'Alexander Calder de 1975 (non titrée) à 30 000/40 000 €.
Monnaies, bijoux, vins et alcools, arts décoratifs du XXe
Le décorateur André Arbus marquera cette affiche avec sept lots de chauffeuses d'un modèle néoclassique à l'étrusque, vendus avec faculté de réunion. 8 000/10 000 € sont par exemple attendus d'une suite de huit sièges, quatre en acajou et quatre en sycomore. Un lot de cinq portraits de femme à l'aquarelle dans le goût de Kees Van Dongen est annoncé à 9 500/14 500 €. Se distigueront encore de ce programme varié quarante verres en cristal transparent de Baccarat modèle « Elbeuf » (3 000/5 000 €) et un bureau à cylindre de style Louis XVI, estampillé par Grohé à Paris, en placage d'acajou mouluré ornementé de bronzes dorés (2 000/3 000 €).
Clément Massier sera l'une des vedettes d'une vente spécialisée. 300/500 € sont annoncés pour son vase en céramique irisée à décor art nouveau (h. 32 cm) et 150/200 € pour son vase amphore, en céramique lustrée et irisée, à décor de feuillage stylisé. Théodore Deck interviendra ensuite avec deux beaux vases pansus à haut col, dans le goût de l'Extrême-Orient, à décor de dragon pour l'un et de branche de grenades pour l'autre. En ronde bosse et de couleur bleu turquoise, ils sont estimés respectivement 1 500/2 000 et 1 200/1 800 €.
Après les 650 lots de la veille, ils seront pas moins de 700 à se succéder le samedi, menés par une bouteille de romanée-conti 2009 du domaine éponyme, à emporter à 12 500/15 000 € (voir Gazette n° 12, page 135). Les grands crux de Bourgogne et du Bordelais se côtoieront, avec pour les premiers deux corton-charlemagne 2004, du domaine Coche-Dury (7 000/8 000 €), et pour les seconds six petrus 1992 (9 000/11 000 €). Nous relèverons encore la présence de trois châteauneuf-du-pape 1998, du château Rayas (2 400/2 700 €), et d'un magnum de champagne brut blanc de blanc Salon de 1999 (1 600/1 800 €).
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Romanée-Conti, un domaine (toujours) exceptionnel
Pas moins de trois jours de vente à Cannes , du 29 au 31 mars, seront dédiés aux grands vins et alcools...Lire la suite
La pièce phare sera une pendule régulateur squelette à six cadrans, fabriquée vers 1800 (10 000/15 000 €). La fantaisie vénitienne sera au rendez-vous avec un mobilier de salon en bois doré du XVIII e siècle provenant du château de Fontaine-Maison, dont le canapé, les deux fauteuils et les six chaises s’ornent d'entrelacs feuillagés et de mufles de lions (3 000/5 000 €), tandis que les monuments de la Rome antique s’afficheront sur le plateau d’un guéridon Napoléon III (1 200/1 500 €). Partiellement du XVII e siècle, un coffret en albâtre et bois noirci présente un décor architecturé gravé de rinceaux, d’écus et de vases fleuris (2 500/3 000 €). Côté bronzes, l’ Harmonie de Carrier-Belleuse (1 000/1 500 €) s’opposera au combat du tigre et de l’antilope par Barye (2 500/3 000 €). Les amateurs de dessin remarqueront une feuille d’études attribuée à Giulio Cesare Procaccini (4 000/6 000 €).
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Passion horlogère
Avec ses six cadrans – un par fonction –, cette spectaculaire pendule-régulateur squelette à calendrier...Lire la suite
Appartenant à la série « Fairy Tales » illustrant les contes d’Hans Christian Andersen, inédites pour certaines, deux portfolios comptant 24 lithographies de Carl-Henning Pedersen seront proposées autour de 5 000 € chacun. Deux autres lots réuniront chacun cinq feuilles des séries « Blue King » et « Red King » de 1984 (700/800 € chacun). La numismatique proposera un bel ensemble de six pièces de 20 dollars or, modèle "Liberty Head" de 1895, 1897 et 1904 (9 000/10 000 €). La tête de la nymphe Aréthuse, figurée sur un trétradrachme d’argent frappé à Syracuse, en Sicile, fera remonter le temps jusqu’au règne d’Agathoclès (317-289). Environ 1 100 € seront requis pour son très beau profil. Le programme se déroulera en musique avec un archet d’Eugène Cuniot-Hury, fabriqué à Mirecourt vers 1900 (2 500/3 000 €).
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Pedersen-Andersen, face-à-face danois
L’artiste du mouvement CoBrA a illustré les contesLire la suite
Les arts anciens auront la part belle pendant deux jours. Samedi 30, la Vierge sera honorée en sculpture et en peinture. Taillée dans le bois à Naples dans le troisième tiers du XVI e siècle, attribuée à Giovanni Domenico d’Auria et à son atelier, elle fera son Assomption portée par des putti, moyennant quelque 13 500 €. Vers 1600, un suiveur de Jan Gossaert, dit Mabuse, l’a peinte avec l’Enfant Jésus (30 000/50 000 €, voir Gazette n° 12, page 49). L’Ancien Régime sera également évoqué par une commode Louis XV en vernis Martin, due à Charles Chevallier et Pierre Roussel, ouvrant à deux tiroirs sans traverse, laissant se déployer son décor de palais et de personnages dans des paysages chinoisants (20 000/30 000 €).
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Jan Gossaert, le peintre de la Vierge
Ses madones ont tant marqué les esprits, qu’un artisteLire la suite
La dernière vacation sera dominée le dimanche par une bouteille d'Islay pure malt scotch whisky 1963 Bowmore, qui sera disputée à 6 000/8 000 €. À ses côtés vous attendent aussi bien deux bouteilles de pomerol-le-pin 2000 (5 500/6 500 €) qu'un flacon de romanée-conti 1983 du domaine du même nom (4 000/6 000 €). Les amateurs de bourgognes rouges jetteront leur dévolu sur une romanée-conti 1983 (4 000/6 000 €) et ceux de blancs, sur un corton-charlemagne 2010 du domaine Coche-Dury (4 500/5 000 €). On conclura sur les alcools avec une bouteille de cognac grande champagne « Très vieille, âge inconnu » de chez Rémy Martin, dans une carafe en cristal de Baccarat et un emballage de la fin des années 1950 : compter 2 700/3 200 €.
Outre une superbe pendule dite à "l'orgue" en bronze doré et porcelaine de Vincennes ou de Meissen, inspirée d'un modèle Louis XV conservé au Petit Palais (15 000/20 000 €), la maison propose une série d'objets art nouveau très recherchés. Une vasque art nouveau en verre soufflé et bleuté à décor doublé d'algues aux tons nuancés de vert, d'ocre, d'orange et de marron, signée Daum Nancy France, une épreuve rare, est attendue autour de 8 000/10 000 €. Une lampe champignon à décor multicouche et dégagé à l’acide d'anémones bleues, signée Muller Frères (8 000/10 000 €), et un vase art nouveau en verre multicouche et dégagé à l’acide au décor de la cathédrale Saint-Nicolas de Nancy et du bord de la Meurthe, signée Émile Gallé, pourrait changer de main autour de 6 000/8 000 €.
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D’après Jean Moisy
Cette pendule en porcelaine dite à l’orgue, proposée par MJV Soudant à Gerpinnes le dimanche 31 mars...Lire la suite
On fêtera dignement Pâques en Normandie, avec notamment des peintres régionalistes, à l'image de Robert Antoine Pinchon nous offrant contre 15 000/20 000 € un paysage d'hiver, Boulevard de Croisset, effet de neige . Le symboliste Jean Francis Auburtin nous proposera ensuite Sous la vague, de 1901 (10 000/15 000 €. Voir Gazette n° 12, page 124). Alentour, le dessinateur de BD Philippe Druillet sera l'auteur d'une technique mixte, Le Refus du monde (10 000/12 000 €), et le photographe Michel Trehet celui d'un tirage Diasec, Chorégraphie (10 000/15 000 €). D'importants bijoux compléteront ce sommaire, telle une bague en or gris ornée d'un saphir ovale facetté en serti double griffe (11,80 ct), épaulé de diamants troïdia (13 000/15 000 €), ainsi que des lots surprenants comme ce jukebox « Rock-ola 1468 » des années 1958-1959 (10 000/12 000 €).
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Sous la vague de Jean Francis Auburtin
Entre art nouveau et légendes médiévales, Jean FrancisLire la suite
Une pendule d’époque Louis XVI fera entendre son mécanisme moyennant 40 000 à 50 000 €. En bronze ciselé et doré, elle prend la forme d’une urne antique à cercle tournant, ornée de guirlandes de fruits et d’un lézard. Elle repose sur un socle flanqué de pilastres, orné de têtes de bélier et d’un portrait d’Henri IV, présentant un cadran à quantièmes, phases lunaires et signes du zodiaque en émail polychrome. Elle est signée « Mathieu fecit » et « Coteau ». Maroquinerie de luxe et champagne seront à embarquer dans une Mini Mayfair de 1990, une édition limitée pour les 30 ans de la marque (8 000/10 000 €).
Clin d’œil à cette vente versaillaise, le dimanche 31 présentera une vue aérienne de son château, dessinée par Lieven Cruyl à la plume et encre brune, crayon noir et estompe sur vélin, est attendue autour de 12 500 €. Le temps s’écoulera au rythme d’une pendule d’époque Transition réalisée d’après un modèle de Robert Osmond, épousant la forme d’une urne antique en bronze doré, garnie d’anses ornées de têtes de satyres aux serpents, et reposant sur une base de marbre blanc. Son cadran est signé Ragot, à Paris (12 000/18 000 €). L’Italie du XVIII e siècle apportera sa fantaisie avec une paire de piédestaux en bois peint et doré, à décor de mufles de lions retenant des guirlandes, et garnis de pieds griffes sur une base tripode (15 000/25 000 €).
La belle orfèvrerie des derniers siècles sera à l'ordre du jour. Remarquables, deux plats polylobés en argent par Carlo Bugatti et Adrien-Aurélien Hébrard (éditeur-fondeur) s'en détacheront, avec leur bordure à motifs de libellules : le premier, d'un poids de 1042,5 g pour 33 cm de diamètre, vaudra 12 000 à 15 000 € et le second, pesant 875 g et d'un diamètre de 32,4 cm, 10 000 à 15 000 €. Du XVIII e siècle proviendra une aiguière assortie de son bassin en argent à bordures de godrons, de Claude Alexis Moulineau (Paris 1737/1738), gravée postérieurement aux armes du roi de Pologne Stanislas Leszczynski (10 000/15 000 €). Suivront deux pièces art nouveau de Lucien Bonvallet pour Cardeilhac… Ces deux chocolatières en argent, à décor de chardons à fond plat (avec moussoir pour l'une) et manche latéral en ivoire teinté, d'un modèle ayant figuré à l'Exposition universelle de 1900, recueilleront chacune entre 8 000 et 12 000 € (voir Gazette n° 12, page 128).
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L’orfèvrerie dans tous ses états
Du XVII e au XX e siècle, un exceptionnel ensembleLire la suite
La Raccommodeuse de filet de Louis Toffoli (2 000/3 000 €) aura l’air tout à fait classique auprès de l’abstraction « rouge sur noir » de Lev Kropivnitsky (3 000/5 000 €). Vous aurez le choix entre un esquimau et une sucette « chup’art » fondus de Charly Rocks (entre 800 et 1 600 €). Plus de 80 lots concernent les œuvres du Japonais Shigéo Shinjo, vendues en la forme judiciaire (de 40 à 1 500 €).
20 000/25 000 € sont attendus pour la Présentation de l'étalon d'Henri Émilien Rousseau : une toile caractéristique de la manière coloriste de l'artiste, apprise dans l’atelier de Jean Léon Gérôme aux Beaux-Arts de Paris grâce à son père – travaillant à la construction du canal de Suez –, qui avait rencontré le maître en Égypte. On restera en Afrique du Nord avec La Préparation du couscous et du thé à la menthe du peintre espagnol Josep Tapiró i Baró, peinte à l'aquarelle et dont on attend 15 000/20 000 €. La section picturale proposera des œuvres variées avec encore une toile de l'artiste coréen Ok-yeon Kwon, Rêve N. 22, Séoul, de 1967 (15 000/20 000 €), et un paravent à cinq panneaux peint par le décorateur Charles Dufresne, exposé à la Biennale de Venise en 1938 (même estimation). Concluons sur un exceptionnel mobilier de salon d'apparat de la fin de l'époque Empire, attribué à Jacob Frères, composé d'une suite de quatre fauteuils et six chaises, à dossier plat carré et haute traverse à canaux (15 000/18 000 €).
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Les secrets de Tanger révélés par Josep Tapiró
Installé définitivement à Tanger en 1874, Josep TapiróLire la suite
Bijoux, montres, argenterie, tableaux modernes, sculptures, bronzes, arts décoratifs du XXe, design, arts d'Asie, tapis, verreries, meubles anciens et de style, objets d'art et d'ameublement
Au plus haut rivaliseront des bijoux. 12 000/13 000 € sont à en pour un bracelet souple centré de trois saphirs de formes ovale et coussin, épaulés de trois lignées totalisant quinze diamants, et 8 000/9 000 € pour un collier de la maison Cartier composé d'un pendentif panthère de forme « toison d'or », la bélière et les yeux en or jaune. En 1949, une broche panthère analogue fut acquise par Daisy Fellowes. Né dans le Doubs, Paul Decrind livrera quant à lui contre 4 500/5 000 € La Combe d'Abondance et en échange de 2 500/3 000 €, un Crépuscule d'hiver . On remarquera par ailleurs un Nu assis en bronze d'Antoniucci Volti (4 000/5 000 €) et, pour le design, un fauteuil de repos modèle Lounge Chair n° 671 avec son ottoman de Ray et Charles Eames (2 000/2 500 €).
Tableaux modernes et contemporains, sculptures, bronzes, arts décoratifs du XXe, design
Plusieurs œuvres provenant de la collection Pierre et Renée Maunoury marqueront cette vente. Proches des artistes bruts et surréalistes, les collectionneurs en possédaient certaines de Robert Tatin, dont OSER , de 1970 (15 000/20 000 €), mais aussi un ensemble de 52 cartes à jouer et à tirer de la Banque de L'Hourloupe de Jean Dubuffet (1 500/2 000 €). D'une autre collection particulière, nous remarquerons une rare sculpture en plaques de cuivre soudées de l'architecte André Bloc, une pièce unique témoin de son travail sur le constructivisme qui pourrait partir à 40 000/60 000 €. Du même, une œuvre en plâtre aux formes plus organiques est attendue à 12 000/15 000 €. Des tenants de l'art naïf s'annoncent également, dont Aristide Caillaud avec L'Enfance des montagnes, de 1969 (10 000/15 000 €).
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Robert Tatin dans une collection brute de talents
Plusieurs œuvres provenant de la collection PierreLire la suite
Une sculpture d'André Bloc en forme d’exploration plastique
Insaisissable, André Bloc était porté par son talent,Lire la suite
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