L.A.S. à « Chère Madame », Paris (s.d.), 2 p. in-8°. « J'ai lu vos impressions de guerre qui forment un des récits les plus émouvants que je connaisse, et qui par moment atteint le ton de l'épopée. La messe du 15 août, l'approche du canon, la reprise de Rheims, ce sont des pages inoubliables. Quel dommage que la stérilité momentanée de mon imagination et le tourbillon où je vis actuellement ne me permettent pas de vous donner la préface que vous me demandez.Il y a bien des phrases où je sens le son particulier des Rimbaud. »
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