Gazette Drouot logo print
Lot n° 15

LITTERATURE - 15 documents.                                                                          AICAR...

Résultat :
Non Communiqué
Estimation :
Réservé aux abonnés

LITTERATURE - 15 documents.                                                                          AICAR (Jean) 3 L.A.S. Paris, Toulon, 4 août 76, 24 septembre 76 et (s.d.) 4 pp. in-8. Le 4 août, à propos de La Chanson de l’enfant « Je reçois aujourd’hui une lettre de Camille Doucet qui m’annonce officiellement le prix décerné par l’académie [française] à mon volume. (…) j’aurai voulu, avant mon départ, voir le premier dessin… promis pour ce temps (…) », le 24 septembre à Claudius Popelin, il annonce « J’ai la plus grande impatience de voir ce que vous avez fait pour moi (…) Je viens d’écrire à Prunaire et à l’éditeur, afin de le presser. Je ne serai à Paris qu’à la fin octobre. Ma première visite sera pour vous (…) » (s.d.) au même, il évoque son ouvrage « Quant au format du livre, l’éditeur s’en tient définitivement à celui de l’édition que vous avez en main (…) » il poursuit en évoquant la typographie, et d’autres questions liées à la publication de l’ouvrage ; AYMÉ (Marcel) reçu autographe signé à M. Charles Demogeot, Paris, 21 juillet 1932. 1 p. in-8. Enveloppe jointe. Il règle la facture « (…) n°82838 du 30 juin 1932 (…) » ; BARJAVEL (René) L.A.S. à « Guy et Anne-Marie » (s.l.) 3 janvier 1982. 2 pp. gd in-8. En-tête à ses nom et prénom imprimé. Il annonce son départ et les préviens « (…) 1982 va nous secouer. Il faudra tenir bon les branches. Je vous souhaite soleil, joies et paix, autant que possible (…) » ; BARNES (Julian) C.P.A.S. à Elisabeth Gillet-Perrot, 1 avril 2004. 1 p. in-12 oblong. « Je suis très content que mes deux derniers livres vous ont plu. Je ne sais pas si les auteurs anglais sont plus polis que leurs confrères français. Il se peut qu’on réponde toujours à une lettre qui arrive de l’étranger et qu’on est toujours plus négligeant envers ses compatriotes (…) »  ; [ BARRES] (Maurice) deux photographies noir & blanc. Un portrait de l’écrivain à Sainte Odile (25,7 x 19,1 cm, 3 trois coins pliés, deux déchirures sur le bord latéral gauche) et une photographie de la Maison de Maurice Barrès à Charmes dans les Vosges (17,8 x 12,7 cm, contrecollé sur carton) ; BARRIE (James Matthew) L.A.S. à [Arthur O’ Rielatt], 133 Gloucester Road, « 3 June 1902 ». 1 p. in-8. Il remercie son correspondant pour sa lettre mais d’autres arrangements prévalent, il lui souhaite beaucoup de succès ; FABRE (Ferdinand) L.A.S. [à Anatole France] (s.l.) le 24 décembre 97. 2 pp. ½ in-12. « Il y aura un an vous entriez dans mon salon dans votre habit d’académicien tout flambant neuf, le visage réjoui des applaudissement reçus (…) Après avoir prononcé votre discours de réception vous avez tenu à serrer la main à Ferdinand Fabre. Je n’oublierai jamais cet élan de votre cœur plein de grand amour des lettres que je partage si profondément avec vous (…) Je vous souhaite tous les bonheurs ; avec le chef d’œuvre que vous réaliserez certainement en 98 (…) » ; [HUGO (Victor)] BERTHELOT (Marcellin) L.A.S. (s.l.) 21 novembre 1901. 1 p. in-8. Enveloppe jointe. « Je m’associe de grand cœur à votre manifestation pour le centenaire de Victor Hugo, qui m’a honoré de son amitié et dont j’ai toujours été l’admirateur. Je ne sais si ma santé me permettra d’y assister en personne ; mais j’y serai de cœur (…) » (Centenaire de Victor Hugo en 1902) ; MAILER (Norman Kingsley) portrait noir et blanc, dédicacé et signé (22 x 25,4 cm) ; MERIMÉE (Prosper) L.A.S. Cannes, 8 Janvier [1864]. 1 p. in-8. Mérimée la remercie pour son « charmant petit volume ». Il est malade et s’occupe de malades, il regrette de ne pouvoir « (…) vous porter mes remerciements. Veuillez donc me permettre Madame de vous faire mon compliment par lettre (…) » ; ROLLAND (Romain) L.A.S. (s.l.n.d.) « Dimanche 12 mars » 2 pp. in-8. Lettre déchirée sur le bord latéral gauche avec manque de texte dans la seconde page. Il explique « J’avais un rendez-vous officiel à la Sorbonne (…) j’ai essayé au moins d’entendre les 1 er actes du Mariage de Figaro ; j’ai été au Trocadéro, mais j’ai eu le regret de devoir partir avant qu’il ait commencé. Ma sœur (…) m’a du moins raconté (…) que

Titre de la vente
Date de la vente
Localisation
Opérateur de vente