La mort d'Adonis Toile. (quelques restaurations anciennes). 156 x 207 cm PROVENANCE : probablement vente Van Huysvoorn, Amsterdam, le 21 octobre 1739, n° 46. Collection Dorothée de Courlande, princesse de Talleyrand-Périgord, plus tard duchesse de Dino et de Sagan, sa fille, puis transmis par héritage aux propriétaires actuels. Notre tableau apparait dans une aquarelle, vers 1850, conservée dans la collection du propriétaire actuel représentant « Mon salon à Saint Petersburg » (voir ill.). BIBLIOGRAPHIE : probablement Axel Heinrich, Thomas Willeboirts-Bosschaert (1613/14-1654), ein flämischer Nachfolger van Dycks, Brepols 2003, tome I p. 329, cat. C76 Anciennement attribué à Van Dyck, artiste que Thomas Willeboirts a plusieurs fois copié, notre tableau n'était plus connu que par une copie ancienne, de dimensions inférieures (112 x 162,6 cm) récemment passée en vente (Christie's Amsterdam, 6 mai 2009, n°17 reproduit). Il s'agit probablement du tableau catalogué par Axel Heinrich dans les oeuvres connues par des sources littéraires mais perdues (op. cit., cat. C 76, La mort d'Adonis, technique et support inconnus, 159,5 x 212 cm). On connaît deux autres versions de ce sujet : l'une, Vénus pleure la mort d'Adonis, toile, signée, 138,3 x 199 cm, est conservée au château d'Oranienburg à Berlin (cf.Heinrich, op. cit., A 5 p.151, ill.10) ; l'autre, Vénus pleure la mort d'Adonis, toile, 167 x 205,8 cm, se trouve au musée de Boisle- Duc (cf. Heinrich, op. cit., cat. A 69, p. 256, ill. 103).
Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience de navigation, réaliser des analyses de trafic du site et de vous proposer des contenus et des annonces les plus adaptés à vos centres d’intérêts.
