L.A.S. «C. Pissarro», Londres 10 juin 1897, à Claude MONET ; 1 page et demie petit in-8.
Il comprend l'embarras de Monet, qui n'a pu l'inviter «au repas de noces» de son fils Jean : «moi aussi je me trouve fort empêché, en ce moment, par suite de la longue convalescence de Lucien, d'assister à quoi que ce soit». Il fait des vœux pour le jeune couple. Il reste à Londres «jusqu'à l'entière guérison de Lucien», mais pense pouvoir partir à la fin du mois pour Éragny
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