L.A.S. « H. Berlioz », Paris Dimanche matin [8 mai 1842], à Ernest LEGOUVÉ ; 1 page in-8.
À propos de La Mort d’Ophélie, ballade sur des paroles de Legouvé. [Berlioz et Legouvé travaillent sur une adaptation de Shakespeare, La mort d’Ophélie. Cette œuvre sera fi nalement publiée dix ans plus tard, en 1852, dans Tristia, mais ne sera jamais jouée du vivant de Berlioz. Le manuscrit, conservé à la bibliothèque de la Gesellschaft der Musikfreunde à Vienne, est daté du 7 mai 1842.]
« Quand vous viendrez à Paris avertissez-moi, je vous prie. J’ai à vous faire entendre ce que j’ai écrit la semaine dernière sur vos vers charmans de la Mort d’Ophélie (que j’avais perdus et que j’ai retrouvés.) Si cette musique vous plaît, j’instrumenterai l’accompagnement de piano pour un joli petit orchestre et je pourrai faire exécuter le tout à un de mes concerts »… Correspondance, t. VIII, n° 769 bis.
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