L.A.S., [début août ? 1849, à Mme de REISET] ; 1 page in-8° (petit deuil). APRÈS LA MORT DE SA FEMME MADELEINE (27 juillet 1849). Il remercie son amie, qui connaît « si cruellement les malheurs de cette vie », de ses consolantes paroles. « Ma pauvre femme, ma digne femme - sa mort a été son apothéose. Vous l'aimiez bien, madame, et elle en était fière. Elle n'est plus, je ne la verrai plus cette chère compagne ! plus ; mais cela est affreux ; et on ne peut mourir d'une pareille douleur ?... Vos anges d'enfants m'ont enlevé ici où ils me font le lit le plus doux dans ma cruelle douleur : que je les aime, qu'ils sont bons [...], mais rien ne peut me la rendre, car nous devons croire qu'elle est au Ciel, et je courbe la tête »...
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