L.A.S. à Albert Naud. (7 avril 1950), 4 p. in fol.
Au sujet de ses droits sur Mort à crédit: «... C'est en plein délire tout ça ! C'est de l'archiUBUterie sur-conne ! Les fameux domaines relancent le malheureux Monnier pour lui prendre mes droits sur Mort à crédit ! Vous comprenez qu'ils peuvent crever un peu les domaines ! Ca s'est jamais vu je crois aussi épileptique en persécution ! Ils veulent du flouze, ils en brament, écument de désir et ils font crever la bête !...Il leur reste des centaines de milliards à récupérer sur le mur Atlantique...Moi qu'on a cent fois pillé, repillé, emprisonné, chassé, pourchassé et qui n'a jamais gagné de milliards surtout avec les fritz ! Pas un rond ! Ca tourne trop con !... ».
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