Notre calendrier des enchères recense les ventes à venir en France et à l'étranger, triées par date, lieu de vente, maison de ventes et/ou spécialité. Vous pourrez y retrouver les catalogues et accéder directement à la vente grace au bouton "Enchérir". A consulter également à partir de cette page les articles publiés par le magazine en lien avec chaque vente.
Clément Massier sera l'une des vedettes d'une vente spécialisée. 300/500 € sont annoncés pour son vase en céramique irisée à décor art nouveau (h. 32 cm) et 150/200 € pour son vase amphore, en céramique lustrée et irisée, à décor de feuillage stylisé. Théodore Deck interviendra ensuite avec deux beaux vases pansus à haut col, dans le goût de l'Extrême-Orient, à décor de dragon pour l'un et de branche de grenades pour l'autre. En ronde bosse et de couleur bleu turquoise, ils sont estimés respectivement 1 500/2 000 et 1 200/1 800 €.
Après les 650 lots de la veille, ils seront pas moins de 700 à se succéder le samedi, menés par une bouteille de romanée-conti 2009 du domaine éponyme, à emporter à 12 500/15 000 € (voir Gazette n° 12, page 135). Les grands crux de Bourgogne et du Bordelais se côtoieront, avec pour les premiers deux corton-charlemagne 2004, du domaine Coche-Dury (7 000/8 000 €), et pour les seconds six petrus 1992 (9 000/11 000 €). Nous relèverons encore la présence de trois châteauneuf-du-pape 1998, du château Rayas (2 400/2 700 €), et d'un magnum de champagne brut blanc de blanc Salon de 1999 (1 600/1 800 €).
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Romanée-Conti, un domaine (toujours) exceptionnel
Pas moins de trois jours de vente à Cannes , du 29 au 31 mars, seront dédiés aux grands vins et alcools...Lire la suite
La pièce phare sera une pendule régulateur squelette à six cadrans, fabriquée vers 1800 (10 000/15 000 €). La fantaisie vénitienne sera au rendez-vous avec un mobilier de salon en bois doré du XVIII e siècle provenant du château de Fontaine-Maison, dont le canapé, les deux fauteuils et les six chaises s’ornent d'entrelacs feuillagés et de mufles de lions (3 000/5 000 €), tandis que les monuments de la Rome antique s’afficheront sur le plateau d’un guéridon Napoléon III (1 200/1 500 €). Partiellement du XVII e siècle, un coffret en albâtre et bois noirci présente un décor architecturé gravé de rinceaux, d’écus et de vases fleuris (2 500/3 000 €). Côté bronzes, l’ Harmonie de Carrier-Belleuse (1 000/1 500 €) s’opposera au combat du tigre et de l’antilope par Barye (2 500/3 000 €). Les amateurs de dessin remarqueront une feuille d’études attribuée à Giulio Cesare Procaccini (4 000/6 000 €).
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Passion horlogère
Avec ses six cadrans – un par fonction –, cette spectaculaire pendule-régulateur squelette à calendrier...Lire la suite
Les arts anciens auront la part belle pendant deux jours. Samedi 30, la Vierge sera honorée en sculpture et en peinture. Taillée dans le bois à Naples dans le troisième tiers du XVI e siècle, attribuée à Giovanni Domenico d’Auria et à son atelier, elle fera son Assomption portée par des putti, moyennant quelque 13 500 €. Vers 1600, un suiveur de Jan Gossaert, dit Mabuse, l’a peinte avec l’Enfant Jésus (30 000/50 000 €, voir Gazette n° 12, page 49). L’Ancien Régime sera également évoqué par une commode Louis XV en vernis Martin, due à Charles Chevallier et Pierre Roussel, ouvrant à deux tiroirs sans traverse, laissant se déployer son décor de palais et de personnages dans des paysages chinoisants (20 000/30 000 €).
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Jan Gossaert, le peintre de la Vierge
Ses madones ont tant marqué les esprits, qu’un artisteLire la suite
Appartenant à la série « Fairy Tales » illustrant les contes d’Hans Christian Andersen, inédites pour certaines, deux portfolios comptant 24 lithographies de Carl-Henning Pedersen seront proposées autour de 5 000 € chacun. Deux autres lots réuniront chacun cinq feuilles des séries « Blue King » et « Red King » de 1984 (700/800 € chacun). La numismatique proposera un bel ensemble de six pièces de 20 dollars or, modèle "Liberty Head" de 1895, 1897 et 1904 (9 000/10 000 €). La tête de la nymphe Aréthuse, figurée sur un trétradrachme d’argent frappé à Syracuse, en Sicile, fera remonter le temps jusqu’au règne d’Agathoclès (317-289). Environ 1 100 € seront requis pour son très beau profil. Le programme se déroulera en musique avec un archet d’Eugène Cuniot-Hury, fabriqué à Mirecourt vers 1900 (2 500/3 000 €).
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Pedersen-Andersen, face-à-face danois
L’artiste du mouvement CoBrA a illustré les contesLire la suite
La dernière vacation sera dominée le dimanche par une bouteille d'Islay pure malt scotch whisky 1963 Bowmore, qui sera disputée à 6 000/8 000 €. À ses côtés vous attendent aussi bien deux bouteilles de pomerol-le-pin 2000 (5 500/6 500 €) qu'un flacon de romanée-conti 1983 du domaine du même nom (4 000/6 000 €). Les amateurs de bourgognes rouges jetteront leur dévolu sur une romanée-conti 1983 (4 000/6 000 €) et ceux de blancs, sur un corton-charlemagne 2010 du domaine Coche-Dury (4 500/5 000 €). On conclura sur les alcools avec une bouteille de cognac grande champagne « Très vieille, âge inconnu » de chez Rémy Martin, dans une carafe en cristal de Baccarat et un emballage de la fin des années 1950 : compter 2 700/3 200 €.
Outre une superbe pendule dite à "l'orgue" en bronze doré et porcelaine de Vincennes ou de Meissen, inspirée d'un modèle Louis XV conservé au Petit Palais (15 000/20 000 €), la maison propose une série d'objets art nouveau très recherchés. Une vasque art nouveau en verre soufflé et bleuté à décor doublé d'algues aux tons nuancés de vert, d'ocre, d'orange et de marron, signée Daum Nancy France, une épreuve rare, est attendue autour de 8 000/10 000 €. Une lampe champignon à décor multicouche et dégagé à l’acide d'anémones bleues, signée Muller Frères (8 000/10 000 €), et un vase art nouveau en verre multicouche et dégagé à l’acide au décor de la cathédrale Saint-Nicolas de Nancy et du bord de la Meurthe, signée Émile Gallé, pourrait changer de main autour de 6 000/8 000 €.
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Une pendule d’après Jean Moisy
Cette pendule en porcelaine dite à l’orgue, proposée par MJV Soudant à Gerpinnes le dimanche 31 mars...Lire la suite
On fêtera dignement Pâques en Normandie, avec notamment des peintres régionalistes, à l'image de Robert Antoine Pinchon nous offrant contre 15 000/20 000 € un paysage d'hiver, Boulevard de Croisset, effet de neige . Le symboliste Jean Francis Auburtin nous proposera ensuite Sous la vague, de 1901 (10 000/15 000 €. Voir Gazette n° 12, page 124). Alentour, le dessinateur de BD Philippe Druillet sera l'auteur d'une technique mixte, Le Refus du monde (10 000/12 000 €), et le photographe Michel Trehet celui d'un tirage Diasec, Chorégraphie (10 000/15 000 €). D'importants bijoux compléteront ce sommaire, telle une bague en or gris ornée d'un saphir ovale facetté en serti double griffe (11,80 ct), épaulé de diamants troïdia (13 000/15 000 €), ainsi que des lots surprenants comme ce jukebox « Rock-ola 1468 » des années 1958-1959 (10 000/12 000 €).
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Sous la vague de Jean Francis Auburtin
Entre art nouveau et légendes médiévales, Jean FrancisLire la suite
Une pendule d’époque Louis XVI fera entendre son mécanisme moyennant 40 000 à 50 000 €. En bronze ciselé et doré, elle prend la forme d’une urne antique à cercle tournant, ornée de guirlandes de fruits et d’un lézard. Elle repose sur un socle flanqué de pilastres, orné de têtes de bélier et d’un portrait d’Henri IV, présentant un cadran à quantièmes, phases lunaires et signes du zodiaque en émail polychrome. Elle est signée « Mathieu fecit » et « Coteau ». Maroquinerie de luxe et champagne seront à embarquer dans une Mini Mayfair de 1990, une édition limitée pour les 30 ans de la marque (8 000/10 000 €).
Clin d’œil à cette vente versaillaise, le dimanche 31 présentera une vue aérienne de son château, dessinée par Lieven Cruyl à la plume et encre brune, crayon noir et estompe sur vélin, est attendue autour de 12 500 €. Le temps s’écoulera au rythme d’une pendule d’époque Transition réalisée d’après un modèle de Robert Osmond, épousant la forme d’une urne antique en bronze doré, garnie d’anses ornées de têtes de satyres aux serpents, et reposant sur une base de marbre blanc. Son cadran est signé Ragot, à Paris (12 000/18 000 €). L’Italie du XVIII e siècle apportera sa fantaisie avec une paire de piédestaux en bois peint et doré, à décor de mufles de lions retenant des guirlandes, et garnis de pieds griffes sur une base tripode (15 000/25 000 €).
La belle orfèvrerie des derniers siècles sera à l'ordre du jour. Remarquables, deux plats polylobés en argent par Carlo Bugatti et Adrien-Aurélien Hébrard (éditeur-fondeur) s'en détacheront, avec leur bordure à motifs de libellules : le premier, d'un poids de 1042,5 g pour 33 cm de diamètre, vaudra 12 000 à 15 000 € et le second, pesant 875 g et d'un diamètre de 32,4 cm, 10 000 à 15 000 €. Du XVIII e siècle proviendra une aiguière assortie de son bassin en argent à bordures de godrons, de Claude Alexis Moulineau (Paris 1737/1738), gravée postérieurement aux armes du roi de Pologne Stanislas Leszczynski (10 000/15 000 €). Suivront deux pièces art nouveau de Lucien Bonvallet pour Cardeilhac… Ces deux chocolatières en argent, à décor de chardons à fond plat (avec moussoir pour l'une) et manche latéral en ivoire teinté, d'un modèle ayant figuré à l'Exposition universelle de 1900, recueilleront chacune entre 8 000 et 12 000 € (voir Gazette n° 12, page 128).
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L’orfèvrerie dans tous ses états
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La Raccommodeuse de filet de Louis Toffoli (2 000/3 000 €) aura l’air tout à fait classique auprès de l’abstraction « rouge sur noir » de Lev Kropivnitsky (3 000/5 000 €). Vous aurez le choix entre un esquimau et une sucette « chup’art » fondus de Charly Rocks (entre 800 et 1 600 €). Plus de 80 lots concernent les œuvres du Japonais Shigéo Shinjo, vendues en la forme judiciaire (de 40 à 1 500 €).
20 000/25 000 € sont attendus pour la Présentation de l'étalon d'Henri Émilien Rousseau : une toile caractéristique de la manière coloriste de l'artiste, apprise dans l’atelier de Jean Léon Gérôme aux Beaux-Arts de Paris grâce à son père – travaillant à la construction du canal de Suez –, qui avait rencontré le maître en Égypte. On restera en Afrique du Nord avec La Préparation du couscous et du thé à la menthe du peintre espagnol Josep Tapiró i Baró, peinte à l'aquarelle et dont on attend 15 000/20 000 €. La section picturale proposera des œuvres variées avec encore une toile de l'artiste coréen Ok-yeon Kwon, Rêve N. 22, Séoul, de 1967 (15 000/20 000 €), et un paravent à cinq panneaux peint par le décorateur Charles Dufresne, exposé à la Biennale de Venise en 1938 (même estimation). Concluons sur un exceptionnel mobilier de salon d'apparat de la fin de l'époque Empire, attribué à Jacob Frères, composé d'une suite de quatre fauteuils et six chaises, à dossier plat carré et haute traverse à canaux (15 000/18 000 €).
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Les secrets de Tanger révélés par Josep Tapiró
Installé définitivement à Tanger en 1874, Josep TapiróLire la suite
Bijoux, montres, argenterie, tableaux modernes, sculptures, bronzes, arts décoratifs du XXe, design, arts d'Asie, tapis, verreries, meubles anciens et de style, objets d'art et d'ameublement
Au plus haut rivaliseront des bijoux. 12 000/13 000 € sont à en pour un bracelet souple centré de trois saphirs de formes ovale et coussin, épaulés de trois lignées totalisant quinze diamants, et 8 000/9 000 € pour un collier de la maison Cartier composé d'un pendentif panthère de forme « toison d'or », la bélière et les yeux en or jaune. En 1949, une broche panthère analogue fut acquise par Daisy Fellowes. Né dans le Doubs, Paul Decrind livrera quant à lui contre 4 500/5 000 € La Combe d'Abondance et en échange de 2 500/3 000 €, un Crépuscule d'hiver . On remarquera par ailleurs un Nu assis en bronze d'Antoniucci Volti (4 000/5 000 €) et, pour le design, un fauteuil de repos modèle Lounge Chair n° 671 avec son ottoman de Ray et Charles Eames (2 000/2 500 €).
Tableaux modernes et contemporains, sculptures, bronzes, arts décoratifs du XXe, design
Plusieurs œuvres provenant de la collection Pierre et Renée Maunoury marqueront cette vente. Proches des artistes bruts et surréalistes, les collectionneurs en possédaient certaines de Robert Tatin, dont OSER , de 1970 (15 000/20 000 €), mais aussi un ensemble de 52 cartes à jouer et à tirer de la Banque de L'Hourloupe de Jean Dubuffet (1 500/2 000 €). D'une autre collection particulière, nous remarquerons une rare sculpture en plaques de cuivre soudées de l'architecte André Bloc, une pièce unique témoin de son travail sur le constructivisme qui pourrait partir à 40 000/60 000 €. Du même, une œuvre en plâtre aux formes plus organiques est attendue à 12 000/15 000 €. Des tenants de l'art naïf s'annoncent également, dont Aristide Caillaud avec L'Enfance des montagnes, de 1969 (10 000/15 000 €).
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Robert Tatin dans une collection brute de talents
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Une sculpture d'André Bloc en forme d’exploration plastique
Insaisissable, André Bloc était porté par son talent,Lire la suite
Bijoux, montres, monnaies, argenterie, arts d'Asie, arts de la table, sculptures, bronzes, tapis, verreries, céramiques, tableaux, mobilier et objets d'art
De nombreux bijoux trusteront ce sommaire, au rangs desquels une bague en or gris, ornée d'un diamant de taille ancienne de 2,5 ct (4 000/6 000 €), et un bracelet serpent extensible en fils d'or, issu d'un travail ancien (3 000/5 000 €). Alentour, des objets d'art et de collection : on prévoira 5 000/8 000 € pour une pendule du XIX e siècle en bronze à la sphère armillaire et planétaire à cercles, au mécanisme fonctionnel, et 2 000/3 000 € pour un cartel d'applique et son cul-de-lampe Louis XV, signé Vigniaut à Toulouse, en bois laqué rose agrémenté de bronze.
mercredi 03 avril 2024
Voitures
mercredi 03 avril - 09:00 (CEST)
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Les Enchères du Domaine Île-de-France - Saint-Maurice Fourrières
Pesant pas moins de 130,08 ct, une topaze impériale couleur pêche sera à porter en pendentif moyennant environ 1 900 €. Composé d’une maille tissu polonais double, et parsemé de dix diamants ronds taillés en brillant, un bracelet ruban en or gris changera de poignet ente 5 000 et 6 000 €. Il porte le poinçon de maître de Paul Grandblaise, installé à Paris, et remonte sans doute au début des années 1960. Côté montres, Bucherer livre un modèle bijou en or blanc, dont le cadran carré est agrémenté de diamants (1 800/2 000 €).
D'une toile de la peintre orientaliste Jeanne Thil, Caravane devant les murs de Marrakech (6 000/10 000 €), à une lithographie (n° 39) réalisée par Pierre Soulages en 1977, une épreuve hors commerce (8 000/12 000 €), ce programme offrira une belle variété de lots. On restera dans l'abstraction avec une technique mixte signée en 1959 de Iaroslav Sossountzov Serpan, Corttoul (5 000/7 000 €), ou avec un acrylique de Jean Miotte (4 000/6 000 €). Les amateurs de peinture ancienne choisiront quant à eux une Nature morte aux vases de fleurs, singe, cerf et petit chien d'un artiste de l'école anversoise du XVII e siècle de l'entourage de Jan Bruegel le Jeune (3 000/5 000 €).
Rarement complet comme c’est le cas ici, un album de 30 eaux-fortes originales d’Édouard Manet, datant de 1905, sera en concurrence avec celui de Goya, contenant de très belles épreuves sur vélin de la suite complète reliée des 80 eaux-fortes et aquatintes de Los Caprichos , en 1799 (10 000/12 000 € chacun). Picasso sera au rendez-vous, notamment avec Le Bain , l’une des 27 pointes-sèches tirées par Fort sur japon, ancien vergé en 1905, avant le tirage pour Vollard en 1913 (8 000/10 000 €). La toilette au tub fait également partie des sujets de 18 planches originales sur vélin blanc signées Suzanne Valadon, gravées de 1895 à 1910 (3 000/4 000 €). Il n’existe qu’une vingtaine de lithographies de la Petite Fille anglaise (Miss Dolly, Star, Le Havre) , immortalisée par Henri de Toulouse-Lautrec en 1899 (1 800/2 000 €).
Le mobilier ancien tiendra la tête de cette affiche. On aura le choix entre un bureau Mazarin formant cabinet issu d'un travail allemand vers 1700, en marqueterie Boulle en partie et contrepartie de palissandre, étain et ébène (20 000/30 000 €), et une suite de six fauteuils Louis XV à dossier plat « à la reine », en bois relaqué gris sculpté de feuillages, coquilles et fleurettes, l'un estampillé Nicolas Longe (12 000/15 000 €). Réalisé à Anvers au XVII e siècle, un cabinet en écaille à fond rouge, ouvrant par des tiroirs et deux vantaux découvrant une niche à miroirs, sera l'objet d'une bataille de 12 000/15 000 €. On attirera encore votre attention sur des objets d'art classiques tels une paire d'appliques XIX e en bronze ciselé et doré, à décor de tourtereaux et guirlandes de fleurs d'après un modèle de Pierre-François Feuchère livré en 1787 à Thierry de Ville-d'Avray pour sa chambre de l'hôtel de la Marine à Paris (6 000/8 000 €), mais aussi sur un vase en cristal incolore d'Émile Gallé réalisé vers 1890-1894, à décor « aux marguerites » gravé et émaillé d'émaux polychromes et or (8 000/10 000 €).
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Modèle «aux marguerites» signé Gallé
Ce vase exceptionnel remonte aux années 1890-1894. Le verrier Émile Gallé (1846-1904) commence alors...Lire la suite
jeudi 04 avril 2024
Archéologie, arts d'Asie, minéraux et fossiles, mine (sur le thème de la)
Les photographes adopteront un Rolleiflex Planar 3,5 fabriqué vers 1960, par Franke & Heidecke, avec son flash et un filtre sépia (150/250 €), pour immortaliser un buste de jeune femme taillé dans le marbre blanc au tournant du XX e siècle, gravé Raphaël. Il est à rapprocher de la tête Wicar considérée comme la Joconde du Palais des beaux-arts de Lille (300/500 €). Parmi les jouets, figure un zouave mécanique en position de tireur debout, dû à Alexandre Théroude (600/800 €). Un gant épiscopal en fonte de fer du XIX e siècle, orné d'une croix latine, sera accompagné par sept sculptures de mains. Les amateurs d’art populaire remarqueront un verrou de fût en chêne – bloquant le portillon de façade des foudres –, sculpté d’un décor de dauphins affrontés dans l’Alsace du XVIII e siècle (200/300 €).
Le peintre flamand David Teniers II s'imposera en tête de cette affiche avec une grande toile représentant un Bouvier au repos devant un paysage. Il faudra envisager 25 000/30 000 € pour l'acquisition de cette oeuvre provenant probablement de la collection de la comtesse de Verrue.
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Le paysage flamand à son apogée avec David II Teniers
Toute l’Europe est fan de David II Teniers aux XVIILire la suite
Pleins feux sur le XX e siècle avec aussi bien un vase ovoïde en bronze du sculpteur Joachim Costa, à décor tournant de baigneuses et d'oiseaux (5 000/6 000 €), qu'une table de salle à manger de forme rectangulaire, des Artisans de Marolles et de Loir et Cher sous la direction artistique de Jean Touret, à piétement en fer battu et plateau de bois travaillé en nid d'abeilles à l'herminette (2 000/3 000 €). On remarquera encore un vase à ailettes Plumes de fontaine en grès crème, par Ursula Morley-Price (800/1 200 €), et une suite de quatre chaises modèle Tube de Mathieu Matégot, à dossier et assise en tôle perforée trèfle laquée noir (800/1 000 €).
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Baigneuses art déco sur un vase de Joachim Costa
Le maître de la taille directe, originaire de Pézenas,Lire la suite
Deux jours seront nécessaires pour disperser le contenu de cette maison à Saint-Germain-des-Prés. Abondance de biens ne nuisant pas, 900 numéros sont inscrits au catalogue, les 460 premiers cédés le premier jour, les autres le lendemain à partir de 11 h. Au sommaire de la première vacation, les tableaux anciens des écoles françaises et étrangères (quelques centaines d'euros) précèdent les œuvres modernes, toiles (50 à 500 €) et bronzes parmi lesquels des épreuves de Jean-Baptiste Carpeaux, des fontes posthumes de Camille Claudel ( Femme à sa toilette , 4/8, 8 000/12 000 €) et Auguste Rodin (esquisse pour les Néréides , 15 000/20 000 € et petit modèle de la Danaïde , 30 000/50 000 €), ou encore une étude pour Le Monument à Paul Cézanne d'Aristide Maillol (10 000/15 000 €). On poursuit avec des verreries et céramiques modernes, une collection de baisers de paix (bronze, bois, laiton, émail, argent, 200 à 1 000 €), les faïences françaises (dont une collection de secouettes de Quimper) et italiennes fermant la marche. La séance matinale du lendemain revient aux vins et aux spiritueux, celle de l'après-midi débute avec un ensemble de véhicules miniatures Renault (est. 100 à 500 €), avant de se poursuivre avec des arts d'Asie et tribaux. L'éclectisme étant décidément la marque de cette collection, on tentera sa chance sur des pots à sucre en porcelaine européenne et chinoise (200 à 2 000 €), des étains, des bronzes, des bois sculptés, des objets de décoration divers et du mobilier XVIII e et XIX e .
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Maillol pour Cézanne dans la collection d’un amateur germanopratin
Bronzes, baisers de paix, vins ou véhicules RenaultLire la suite
S’il faudra prévoir quelque 70 000 € pour passer au doigt un brillant serti par Boucheron – pesant 3,99 ct et classé IIa –, la plupart des bijoux seront plus accessibles, à l’image d’un sautoir en ors deux tons, dont la torsade se termine par un imposant pompon. Sa bélière en platine évoque une feuille sertie de diamants (3 000/4 000 €). Des objets de charme seront au programme, notamment avec un poudrier ovale dont l’or jaune est entièrement gravé de godrons, alternativement laissés au naturel ou émaillés bleus (4 000/6 000 €). Place à l’argenterie avec un terrine ovale et son dormant en argent, fabriqués entre 1779 et 1780 par Charles Louis Auguste Spriman. Ses pieds s’ornent d’attaches feuillagées et son couvercle accueille une grenade (8 000/12 000 €).
Les premiers récompensés dans cette salle sont les amateurs de reliures art nouveau et art déco à qui sont proposés les ouvrages réunis par un collectionneur de cette période des arts décoratifs. Estimés quelques centaines à 6 000/8 000 €, les volumes des auteurs des grands classiques de la littérature XIX e et début XX e – Balzac, Baudelaire, Barbey d'Aurevilly, Coppée, Schwob, Louÿs, Gautier – sont habillés de cuir mosaïqué à décor floral de Marius Michel, Charles Meunier, René Kieffer, etc., et enrichis d'illustrations. On poursuit avec des livres anciens et modernes et des ouvrages à planche parmi lesquels on a remarqué un ensemble de six volumes d'atlas de l'édition originale du grand périple d'exploration dans le Pacifique de Dumont d'Urville contenant 522 (sur 523) planches en noir ou coloriées et 8 cartes (10 000/15 000 €) ; sans omettre un exemplaire sur grand papier (en deux volumes) du Voyage pittoresque en Sicile d'Achille Étienne Gigault de La Salle (Paris, 1822-1826), muni de 91 vues mises en couleurs à l'aquarelle à l'époque. Sous cette forme, c'est le seul livre qui décrive cette île de la Méditerranée. Prévoyez 10 000/15 000 € pour vous l’approprier.
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Belle reliures à la mode art nouveau et art déco
Parmi les amateurs de livres, certains affectionnentLire la suite
En cimaises, on pourra difficilement manquer les tableaux d'Édouard Henry-Baudot (1871-1953) dont une cinquantaine est proposée, entre 100 et 800 €. Né à Nancy, formé à la peinture à Paris, où il installe son atelier, il rencontre et se lie d'amitié avec Armand Point, Lucien Madrassi et Léon Couturier. S'il est souvent présenté comme un peintre animalier – il obtient en 1912 l'autorisation de dessiner, modeler et photographier la ménagerie et les galeries du Muséum d'histoire naturelle –, il se fait un nom également dans les représentations décoratives de la nature exubérante, le corps féminin demeurant toutefois l'une de ses grandes sources d'inspiration. La preuve dans cette vente avec ces tableaux mettant en scène des jeunes femmes, des ondines, des baigneuses, des nymphes, souriantes et épanouies, mais aussi des animaux dans des paysages ensoleillés. Succède à cette illustration d'un certain bonheur de vivre, des œuvres sur papier (dont Étude de nu féminin pour Femme et taureau au pastel et à la craie par Alfred Roll, 3 000/4 000 €) et des toiles (dont Repos, 1934 , de Charles Kvapil, 3 000/5 000 €), mais surtout des arts décoratifs du début du XX e : paire de bancs en bois des années 1900 (1 500/2 000 €), Femme fellah dévoilée allant puiser de l'eau au Nil en bronze argenté et doré par Charles Cordier (6 000/8 000 €), verrerie et céramique dont un vase dans le goût symboliste de Clément Massier à sujet de faune et flore aquatique (3 000/5 000 €).
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Fonds marins irisés de Clément Massier
Clément Massier (1844-1917), formé à la céramique chez son père, Jacques, à Vallauris, s’associe dans...Lire la suite
Cette dispersion sera résolument internationale. La géométrie aura l’Argentin Miguel Ángel Vidal et la Cubaine Loló Soldevilla pour interprètes, respectivement avec des toiles de 1960 et 1974 (3 000/6 000 €), et deux collages de papiers soulignés d’aquarelle et de mine de plomb sur papier noir, en 1956 ((3 000/5 000 €). La figure humaine sera au rendez-vous, grâce à la Woman with Long Arms and Wheely Wrists sculptée par l’Américain Jim Amaral, et fondue dans le bronze en 1992 (autour de 2 500 €). Yuri Leonidovich Kuper signe de son côté une Nature morte à la pomme (environ 3 500 €).
Pas moins de 60 000/80 000 € sont à envisager pour une rare amphore à figures noires issue d'un travail de l'Attique vers 520-500 av. J.-C. On appréciera son décor à sujet dionysiaque montrant le dieu couché sur un lit et buvant, entouré de plusieurs personnages. Plusieurs autres lots proviendront de la succession Maria Pergay (1930-2023), comme une coupe en argent martelé et cristal de roche par Goudji (4 000/6 000 €) ou une paire de coffres de mariage japonais du XVIII e , en bois laqué, à décor en application de marqueterie de nacre (même estimation). Une autre grande décoratrice sera au nombre des invités : Charlotte Perriand. 15 000/25 000 € sont à prévoir pour une table de salle à manger rectangulaire en frêne, réalisée par l'architecte et designer vers 1956, à plateau à gorge et chevillage en ceinture reposant sur quatre pieds elliptiques.
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Une collection de boîtes, tabatières et étuis sera dispersée au cours de l'après-midi. Ces 72 lots proposeront des estimations allant de 50 à 10 000 €. Au plus haut figureront des boîtes aux matériaux précieux, à l'instar d'un nécessaire du soir issu d'un travail étranger début XX e en or jaune, à quatre compartiments, le poussoir principal orné d'un rubis cabochon (8 000/10 000 €), et un étui à cigarettes de Van Cleef & Arpels en or jaune, à décor de bandes guillochées et poussoir orné en cabochon d'un saphir (6 000/8 000 €). Travail suisse du début du XIX e siècle, une tabatière rectangulaire à pans coupés en or jaune proposera quant à elle le décor d'une scène amoureuse en forêt, dans un cadre émaillé de roses, la tranche ornée de quatre miniatures (6 000/8 000 €).
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Amours en forêt sur une tabatière XIXe
La vente organisée à Niort le jeudi 4 avril par la maison Deux-Sèvres enchères & expertises OVV verra...Lire la suite
Des plus éclectiques, cette sélection fera voyager à travers le temps et les civilisations. Alors qu’une jeune femme de Tanagra évoquera la Grèce du IV e siècle avant notre ère (15 000/25 000 €), le moine-guerrier japonais Benkei portera la cloche du temple de Miidera à bout de bras. Mesurant 90 cm de haut, son bronze à double patine de l’époque Meiji, signé Miyao, en imposera autour de 10 500 €. Présentant un décor de paradis terrestre, un tapis en soie tissé dans l’atelier Seirafian évoquera l’Iran à l’époque du Shah (8 000/12 000 €). Retour en Europe avec un albâtre de Nottingham sculpté d’une scène de la Trinité dans la seconde moitié du XV e siècle (3 000/5 000 €). Le design s’invitera dans la sélection avec Charles et Ray Eames, Ludwig Mies Van der Rohe ou encore Pierre Chapo.
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Le charme antique des femmes de Tanagra
L’antique cité grecque a donné son nom à des statuettesLire la suite
Sollicités en début de séance, les plus fortunés des amateurs de bijoux engageront 4 000/6 000 € sur une broche aigrette début XIX e stylisant une gerbe ornée de plusieurs chutes de diamants taillés en rose nouée d'un ruban, 15 000/20 000 € et 50 000/80 000 € sur deux bagues solitaires en platine, l'une ornée d'un diamant coussin de taille ancienne en serti griffe (3,76 ct), l'autre d'un diamant brillanté en serti quatre griffes (14,34 ct). D'autres vitrines sont occupées par de l'orfèvrerie (dont un nécessaire de maître de chai, 400/600 €) et par des objets de décoration, dont un vase en porcelaine de Sèvres, d'époque Charles X, au profil du maréchal Davout (10 000/15 000 €), un cartel d'applique en bronze ciselé doré attribué à Saint-Germain (3 000/4 000 €). Un exemplaire de la première édition séparée de l' Histoire naturelle des oiseaux de Georges Buffon (Paris, 1770-1786), illustrée de 973 planches gravées sur cuivre d'après les dessins du bien nommé François Nicolas Martinet et coloriées pour la plupart, est espéré à 15 000/20 000 €, alors qu’un bureau de pente en noyer marqueté, estampillé de Hache Fils à Grenoble, pourrait atteindre autour de 15 000/18 000 €. La plus belle bataille d'enchères est prévue à hauteur de 200 000/300 000 € sur une vue de La Seine aux Andelys, le soir, 1924 de Félix Vallotton (voir Gazette n° 9, page 30).
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Un nécessaire de maître de chai armorié
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Les colliers proposeront des chutes de perles fines, au nombre de 61 et 87, respectivement autour de 35 000 et 55 000 €. Les émeraudes de Colombie sont également en vedette : elles sont incrustées de gemmes en forme d’abeille sur un pendentif réputé avoir été offert par un bey de Tunis (30 000/40 000 €), également taillées en cabochon sur un autre modèle du XIX e siècle et mises en valeur au centre de festons ponctués de diamants (25 000/35 000 €), et montées en bague pour une pierre « gota de aceite » (20 000/30 000 €). Van Cleef fleurira une parure « rose de Noël » composée d’un clip et d’une paire de clips d’oreilles des années 1970, aux pétales de corail blanc et aux cœurs de diamants (20 000/25 000 €). Cartier signe une épingle à jabot « persane » des années 1930, entièrement pavée de diamants (7 500/10 000 €).
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L’émeraude, une gemme convoitée
Réputé transmis par un bey de Tunis, un cabochon incrustéLire la suite
Session éclectique avec, en tête, une huile de Félix Ziem (1821-1911) de 68 x 110 cm. Cette Vue du Palais des Doges (50 000/80 000 €) reprend les lumières roses et dorées de la Méditerranée, chères à l'artiste. Un fusil mousqueton d’honneur (15 000/20 000 €) du septième régiment bis de hussards, un régiment portant le poinçon DB pour Daniel Bouysavy, pourrait ravir les amateurs d'armes. Côté arts décoratifs, une paire de candélabres en bonze ciselé et doré de la France du XVIIIe siècle changera de propriétaire autour de 10 000 à 15 000 €. Une pendule à horloge astronomique par Tiffany & Co, vers 1880 (5 000/8 000 €), et une proue de navire en bois, représentant le roi Salomon, travail du XVIIIe siècle (5 000/8 000 €), sont les autres lots phares de la vente.
À côté d’un habitué des enchères, JonOne, dont le Frozen Uke (Ice) , un acrylique et encre de 2017, est proposé autour de 17 500 €, les amateurs d’art urbain découvriront le travail de Zevs, avec une technique mixte satirique de 2015, titrée Oil Painting, ExxonMobil Grey/Lightgrey (20 000/30 000 €). Bien que baptisée Abstraction , une œuvre de Hopare, réalisée en 2014, construit un séduisant visage en bois découpé monté sur panneau, associant huile, encre et peinture aérosol (15 000/20 000 €). Felipe Pantone jouera avec l’effet pixélisé de son Chromadynamica de 2017, exécuté à l’acrylique sur aluminium (12 000/18 000 €).
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L’art urbain, de Hopare à Zevs
Tajan dédie sa première vente d’avril au street art et à ses meilleurs représentants. JonOne, Brusk,...Lire la suite
Les luminaires finlandais se déclineront en 88 numéros. Paavo Tynell en sera le roi incontesté, avec pas moins de 56 lots proposés entre 6 000 et 120 000 €, de sa paire d’appliques K 8-4 dites « up & down », garnies de lamelles de laiton et de bois, à sa suspension n° 9041 surnommée « snowflake », en laiton et résille de métal. Imaginées vers 1950, ces deux pièces ont été éditées par Taito Oy. Vers la même époque Lisa Johansson-Pape a créé une paire de lampadaires n° 30-073, associant laiton, cuir et métal laqué, édités par Orno (12 000/18 000 €). Vers 1860, Idman a produit une suspension d’Esko Pajamies, dont la forme, évoquant un objet volant, est due à la superposition de lamelles de métal laqué (12 000/18 000 €).
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Lumières sur Paavo Tynell
Le maître finlandais, véritable sculpteur de lumière, est la grande vedette de cette vacation orchestrée...Lire la suite
Les œnophiles n’auront pas manqué l’annonce de cette dispersion – sur désignation – d’une partie de la cave de Michel Bettane (voir Gazette n° 12, page 22). Les bouteilles sont vendues par lots de six ou douze, respectivement mis à prix à 120 et 240 €, panachant des bouteilles vedettes et d’autres méritant d’être connues. La plupart des lots représentent une seule et même région – avec une incursion en Allemagne – mais certains peuvent associer sans complexes châteauneuf-du-pape, sancerre, bourgogne, vin de Beaune, côtes-du-rhône, cru de Cahors et de Touraine…
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Cave de Michel Bettane, de grands vins rares à découvrir !
Une partie de la collection de ce dégustateur émériteLire la suite
Art afro-américain
jeudi 04 avril - 18:00 (CEST)
104, East 25th Street - NY-10010 New York, États-Unis
Hughie Lee-Smith, artiste clé de la maison, est en tête du catalogue avec Joueur à la balle , une remarquable huile de 1970, prisée 150 000/250 000 $. Une huile des premières heures abstraites de Norman Lewis (1946) la talonne à 120 000/180 000 $. Un ensemble de 22 gouaches par Jacob Lawrence (1917-2000) de 1941, une série commandée par le Detroit Institute of Arts, est le troisième lot de cette vente à 100 000/150 000 $. Citons encore un acrylique abstrait de Sam Gilliam (1933-2022) pour 80 000/120 000 $, une autre huile d'Hughie Lee-Smith de 1954 pour 75 000/100 000 $ représentant une scène de baignade à la mer, ainsi qu'une abstraction à la gouache de Beauford Delaney (1901-1979) pour 30 000/40 000 $.
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Les peintures silencieuses d’Hughie Lee-Smith
Les œuvres du peintre américain, décédé en 1999, sontLire la suite
Place au design brésilien à 18 h 30, avec une centaine de lots. Moyennant 100 000 à 150 000 €, vous aurez le choix entre un canapé de José Zanine Caldas, sculpté dans un tronc selon un modèle créé en 1977, et une chaise tripode de Joaquim Tenreiro, imaginée en 1947 en associant plusieurs essences de bois : imbuia, peroba, pau-marfim, roxinho et mogno. Si ces deux créateurs tiendront le haut du pavé, grâce à plusieurs autres meubles, les amateurs remarqueront également une pièce unique de Giuseppe Scapinelli : une table de salle à manger ornée d’un fixé sous verre, signé Demarchis en 1961, avec ses huit chaises en caviuna (25 000/35 000 €).
Une bague en platine et or gris ornée en serti griffes d'un diamant de taille brillant de 2,17 ct, de couleur G et pureté Si2, mènera à 5 200/6 500 € les estimations. À noter encore, la présence d'une paire de boucles d'oreilles dites « dormeuses » en deux ors, ornée chacune en serti griffes d'un diamant de taille coussin ancienne (2,2 ct environ) de couleur présumée J/K et pureté Si1 et Si2 (4 000/6 000 €), et un bracelet tank articulé en or rose et jaune, aux maillons à ponts et des années 1940-1950 (4 200/4 800 €).
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