trois lettres autographes signées. La première lettre est adressée à Baudelaire, de Saint-Brieuc, fin décembre 1859. Villiers est admiratif de Baudelaire, il s'excuse de lui être apparu dans des conditions déplorables, dues à l'alcool, au manque de sommeil et à sa jeunesse. La seconde lettre, du printemps 1861, montre leur gout commun pour Wagner, Villiers trouve la poésie de Baudelaire enthousiasmante, il se sent très humble vis à vis du grand poète et supprime un passage de sa lettre, ne voulant pas être dogmatique et considérant n'avoir rien à lui apprendre. Dans la troisième lettre adressée du 14 de la rue St-Pierre à Saint-Brieuc, Villiers raconte son pélerinage à l'abbaye de Solesmes, et sa rencontre avec Dom Guéranger, réformateur de Solesmes.
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