Marcel DUPRÉ (1886-1971). 8 L.A.S. et 1 L.S., 1948-1966, la plupart à René Dumesnil ; 8 pages formats divers, un en-tête Conservatoire national de musique.
Washington 29 octobre 1948 : « Merci de vos si gentilles félicitations »… Meudon 16 avril 1950 : « Je suis touché par la fidélité de votre sympathie […] c’est un très grand encouragement »… 2 mars 1955, à Lucette Descaves. Il le sait par expérience : « jamais on ne se console de la perte de ceux qu’on a aimés. Et la perte d’une maman est quelque chose à part. […] Mais la poésie des chers disparus grandit et s’irradie dans nos cœurs chaque jour un peu plus »… Cheviré-le-Rouge 5 septembre 1958 : « Nous lisons votre cravate de Commandeur, si hautement méritée, et je veux vous dire notre profonde joie, et les ardentes félicitations de nos cœurs d’amis »… 28 novembre 1966 : « J’enrage !.. Je ne serai pas auprès de toi vendredi pour la remise de ton épée. J’ai gobé 8 jours de prison ! Cloué au lit : refroidissement idiot »… – Il sera probablement obligé d’emporter en Amérique le matériel d’orchestre de sa Fantaisie, mais il est « extrêmement touché de l’intérêt que vous voulez bien porter à œuvre »… Etc.
On joint une carte de visite a.s. de remerciements, une photo signée de Dupré à l’orgue de Saint-Sulpice, et 2 programmes signés, 1922-1937.
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