Georges Bouche (1874-1941) peintre. 5 manuscrits autographes (4 signés, 3 du pseudonyme « L’homme nu »), [vers 1922-1925], et une L.A.S., à Marius-Ary Leblond, Ablon-sur-Seine 1924 ; 29 pages formats divers (quelques défauts).
Articles de critique d’art destinés à La Vie. Art, [1922], compte rendu d’à soi-même, journal posthume d’Odilon Redon qui « nous le montre meilleur que les vestiges de la peinture d’avant-guerre déjà vouée à l’incertitude »… Vague de génie : « Tout le génie du monde est avec nos glorieux as de l’Idéal, défenseurs de notre peinture française durant la guerre, brevetés S.G.D.G. Chefs incontestés : Picasso, Matisse, Van Dongen »… La Leçon du Salon des Indépendants. Il faut supprimer l’École des Beaux-arts, [1925] : « Pour notre génération l’École des Beaux-arts ne compte pas »… Faut-il des Écoles des Beaux-arts ?, 3 juin 1925. Réponse à une défense de l’École par Maurice Denis, dont la peinture « témoigne de ce qu’il advient aux indépendants en rupture d’indépendance, égarés sur leur propre destinée »… Deux natures d’artiste exceptionnelles : Charles Villette et François Angeli… Plus une lettre d’envoi, 13 février 1924, sur ses pseudonymes de Jean Carré ou de L’homme nu « sous lequel je peux continuer à vous canarder de notes barbares »… On joint des épreuves de 2 de ces articles ; et un tapuscrit avec envoi a.s. d’Henry de Waroquier à Marius Leblond, 1945.
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