3 L.A.S. et 1 L.A.; 9 pages et quart in-8, la plupart avec adresse.
Mercredi 30 décembre [1835 ?], à une dame [Élise Rondonneau ?]. Elle n'a pas souhaité que Mme Waldor fasse croire à une plainte de sa part: elle souhaite seulement réaliser son projet pour le jour de l'An: «l'auteur des paroles était le marquis de Custine mon ami le plus intime, et un homme très supérieur. Je désirais lui faire cette surprise et j'avoue qu'il y aurait pour moi un grand bonheur si demain jeudi, veille du jour de l'An je pouvais lui faire entendre cette romance par Monsieur Rondonneau »... Paris 24 mai, à Émile de Girardin, lui rappelant la journée passée ensemble à Satory, chez M. Bonnecarère, et recommandant Mme Aubert... [Lundi], à Mélanie
Waldor. Elle la remercie, car elle n'aurait pas pu jouer la comédie avec Delrieu, qui lui a «fait faire des frais inouis de décorations et de costumes»; ils jouent le lendemain, les billets sont partis. «Il faut que M. de Limerack veuille bien se donner la peine de passer chez Babin. Le costume que Delrieu avait fait faire pour Fleur d'amour lui ira à ravir»... - Au colonel Bory de Saint-Vincent. «Il faut que je vous conduise un soir dans un intérieur où j'ai passé hier trois heures de paradis. C'est chez mon ancien ami
NADERMANN - au milieu de Le Sueur, Cherubini, Abnek, Alexis Dupont, Desormeaux, Rigel, Adam - tout ce que le Conservatoire a de meilleur en chant»...
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