L.S. «vostre affma Madre», Paris 8 janvier 1811, à son cher fils [son gendre Félix BACCIOCHI]; 1 page in4.
«Je suis bien persuadée de la sincérité de tous les sentimens que vous me témoignés [...] Croyez que les voeux que je forme de mon côté pour votre bonheur au renouvellement des années comme dans le reste du tems sont des plus sincères et des plus affectueux. C'est avec ces sentimens que je vous embrasse avec ELISA et vos enfans»...
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