L A S , Lucienne, dimanche [28 juillet 1828], à la tragédienne Mademoiselle Duchesnois, 2 pages in-8 sur papier vert, adresse Il leur faut renoncer à leur projet de théâtre, faute d’acteurs disponibles : « il nous manque M Sauvage ; et le rôle du danseur que jesperais placer, ne peut l’être ; ainsi qu’un autre dans le proverbe de Le Clerc » Sauvage est de service en août et remet à septembre : « mais helas ! si vous n’y etes pas cela ne pourra s’arranger » Elle espère aller la voir avant son départ, « car j’ai affaire à Paris l’un de ses jours pour mon déménagement » Il fait « un tems abominable, le ciel le plus triste, le plus grognon […] des vents qui casse bras et jambes » Elle la presse de se ménager : « Songez que votre santé nous est précieuse et qu’elle m’est chère parce que je vous aime de tout mon cœur » On joint une L A S à M Leprince, se décommandant pour un dîner, car elle est malade (1 p in-12, adr ) ; et une P S de son mari Jean-Baptiste Lebrun, 28 novembre 1774 : bon de 700 livres à payer au vicomte du Barry « au nom et comme fondé de procuration de M le Comte du Barry, son père », valeur reçue en adjudication à « la vente du Cabinet de tableaux de Mr le Comte du Barry »
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