Lettre autographe signée, adressée à Ernest Feydeau [Croisset, 29 décembre 1872] PRISES DE NOTES POUR BOUVARD ET PÉCUCHET. FLAUBERT ÉVOQUE ÉGALEMENT LA MOROSITÉ AMBIANTE: ?LES TEMPS NE SONT POINT PROPICES À LA LITTÉRATURE?. 2 pages in-8 (208 x 132mm), sur papier de deuil, à l'encre noire. Quelques ratures PROVENANCE: Catalogue de la librairie Georges Andrieux, Hôtel Drouot, 30-31 mai et 1er-2 juin 1928, première lettre du n° 270; enveloppe de la vente conservée ?Rien de neuf dans ma vie, mon cher vieux. Je la passe uniformément au milieu de mes livres et dans la compagnie de mon chien. J'avale des pages imprimées et je prends des notes pour un bouquin [Bouvard et Pécuchet] où je tâcherai de vomir ma bile sur mes contemporains. Mais ce dégueulage me demandera plusieurs années [...] J'ai pris 51 ans le 12 de ce mois; c'est une consolation? RÉFÉRENCE: Gustave Flaubert, Correspondance, IV, Paris, Gallimard, 1998, pp. 627 et 1306
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