Autoportrait Paris, juillet 1841 Daguerréotype, 1/2 plaque, 162 x 110 mm. Ce daguerréotype a été trouvé avec une plaque de même format dans l'atelier préservé de PetiotGroffier dans les années 1950. Ils avaient été tous les deux identifiés quelques mois avant la guerre par l'historien chargé du projet d'un musée de la photographie financé par l'entreprise Kodak. Projet qui fut abandonné en France avec l'invasion allemande et repris à Rochester. Cela correspondait au souvenir de la famille: PetiotGroffier avait conservé avec lui les portraits des deux hommes qui l'avaient initié en 1841 à la photographie daguerrienne. La confirmation des identifications resta très difficile pendant des décennies. Un nouveau visiteur trouva dans le même atelier un manuscrit de 15 pages autographe adressé par Richebourg à PetiotGroffier. Ce document identifiait définitivement l'un des deux autoportraits confirmant ainsi la tradition transmise dans la famille. Enfin et surtout il y a quelques semaines un projet dirigé par Michel Frizot aboutit à la mise à disposition des chercheurs d'une version numérisée des positifs directs de Bayard conservés à la SFP dont deux autoportraits restés à ce jour inédits et datant de 1839. On est frappé par l'attitude et la pause adoptées, par notre célèbre artiste et inventeur, communes à tous ces portraits. Provenance: Fortuné PetiotGroffier puis ses descendants. Collection: Marie Thérèse et André Jammes. Publication: Richebourg, Conseils à Fortuné PetiotGroffier, carnet de Clémentine, Paris, 2008
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