114. BONAPARTE (Famille). Ensemble de 6 lettres.... Lot 114
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114. BONAPARTE (Famille). Ensemble de 6 lettres. 1833-1862 et s.d.BONAPARTE (CHARLOTTE), fille de Joseph Bonaparte. Lettre autographe signée, [adressée à la comtesse Regnaud de Saint-Jean d'Angély, Laure Guesnon de Bonneuil]. Londres, 31 janvier 1833. « Je ne veux pas tarder davantage à vous remercier de la lettre que j'ai reçue de vous, et dans laquelle je retrouve les mêmes sentimens, la même élévation. je savais la part que vous aviez prise à mes malheurs, et depuis bien longtems je connais votre cœur... » — BONAPARTE (JEROME-NAPOLEON), fils de Jérôme Bonaparte. Lettre autographe signée [à la comtesse Regnaud de Saint-Jean d'Angély]. Londres, 16 avril 1839. « ... J'ai cru que je devais agir sur ce sujet délicat et pénible de la mannière la plus franche et amicale envers mon cousin [le futur Napoléon III, exilé à Londres]... » — BONAPARTE (ZENAÏDE), fille de Joseph Bonaparte. Lettre autographe signée au futur maréchal Auguste Regnaud de Saint-Jean d'Angély, qui dirigeait alors le corps expéditionnaire français. [Rome], « ce lundi » [1849]. « ... Je viens vous importuner... pour vous prier (puisque vous avez pris la peine de visiter vous-même ma maison, et de vous assurer par vos propres yeux de l'impossibilité matérielle d'y loger d'autres personnes personnes que moi et mes enfans, sans me gêner beaucoup), d'être assez bon pour me donner par écrit une exemption de logement, car depuis ce matin il est venu deux officiers qui demandaient à être logés... » — CLARY (JULIE), épouse de Joseph Bonaparte. Lettre signée [à la comtesse Regnaud de Saint-Jean d'Angély]. Florence, 10 juin 1839. « Quoique bien accablée... par l'affreux malheur qui est venu me frapper [la mort le 3 mars 1839 de sa fille Charlotte, veuve de Napoléon-Louis Bonaparte, fils de Louis Bonaparte et Hortense de Beauharnais, frère du futur Napoléon III], je ne veux pas tarder à vous dire combien j'ai été touchée de votre lettre... J'y vois toute la part que vous prenez à ma douleur , elle est telle que je n'ai plus ni force ni courage. La vie me paraît un supplice depuis que l'ange qui en fesait tout le charme m'a été enlevé. Je ne sais comment je puis résister à tant de souffrances et je sens que rien ne pourra jamais les adoucir. Notre famille vient encore d'être frappée d'un nouveau coup dont vous aurez été bien vivement affectée, car je connaissais tout votre attachement p[ou]r la reine Caroline dont la perte a encore redoublé mes amères douleurs [Caroline Bonaparte, sœur de Napoléon Ier, était morte le 18 mai 1839]... » — CLARY (JULIE). Lettre signée à la comtesse Regnaud de Saint-Jean d'Angély. Florence, 10 octobre 1844. « J'ai été bien touchée des expressions contenues dans votre lettre, et je vous sais bien bon gré de la sympathie que vous me témoignez et de la part que vous prenez à la douloureuse perte que j'ai faite et qui me rend bien malheureuse [la mort de son mari Joseph Bonaparte, le 28 juillet 1844]. Vous pouvez facilement... vous imaginer combien est grande mon affliction, et je vous assure que ma seule consolation est de voir quel écho elle trouve dans tous les cœurs, et combien chacun regrette celui que je ne cesserai de pleurer. Je suis d'autant plus sensible aux regrets que vous me témoignez que je n'ignore pas quel dévouement vous avez toujours professé à la famille, et surtout à celui qui vient de nous être enlevé... » — MATHILDE (Mathilde Bonaparte dite la princesse). Lettre autographe signée [à la veuve Michel-Louis-Étienne Regnaud de Saint-Jean d'Angély, ou à l'épouse du maréchal Auguste Regnaud de Saint-Jean d'Angély]. S.l., « 17 janvier ». « Je suis désolée de vous savoir souffrante et vous prie de croire à toute la part que je prends à votre indisposition. Je suis enchantée d'apprendre que ma petite filleule se porte bien et vous prie... de me rappeler au souvenir de ses parens... » — NAPOLEON (Napoléon-Jérôme Bonaparte dit le prince). Lettre signée au maréchal Auguste Regnaud de Saint-Jean d'Angély. Paris, 5 août 1862. « ... Vous avez bien voulu... annoncer que vous avez fait inscrire le commandant Du Verger de Saint-Thomas, auquel je m'intéresse, en tête de liste des candidats pour la Garde impériale. Je suis très sensible à l'aimable accueil que vous avez fait à ma recommandation... » — JOINT : une coupure de presse concernant le prince Napoléon (1890) et une pièce manuscrite concernant Victor Bonaparte dit Victor Napoléon dit encore le prince Victor (menu d'un repas, s.d.).
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