BERGSON Henri (1859-1941) philosophe [AF 1914, 7e f].
2 L.A.S. « H. Bergson », 1925-1926, à Robert de FLERS ; demi-page in-8, et 3 pages in-8 en-tête Belvédère Palace Hotel, Grasse.
1er novembre 1925, lui demandant de venir causer avec lui au sujet des élections. Grasse 7 janvier 1926, en faveur d’Albert THIBAUDET pour le Grand Prix de Littérature : « Je tiens Thibaudet pour un des esprits les plus pénétrants et les plus rigoureux de notre temps » ; non seulement pour son remarquable talent d’écrivain et son érudition qui dépasse même celle de Sainte-Beuve, mais aussi « parce qu’il s’est recueilli pendant de longues années avant de rien publier, on se le figure généralement plus jeune qu’il n’est »…
On joint une L.A.S., Paris 11 avril 1937, à un « confrère et ami », en faveur d’Édouard LE ROY, qui vient de déposer sa candidature à l’Académie Française : « Aucun philosophe actuellement existant […] ne peut être mis au-dessus de Le Roy, mathématicien venu à la philosophie ». Membre de l’Institut et de l’Académie des Sciences morales, il est aussi un excellent écrivain, ce qui est rare en philosophie ». Bergson pense de plus que la philosophie, aujourd’hui présente partout, ne devrait pas « être représentée à l’Académie par un philosophe unique, qui n’est d’ailleurs que la moitié d’un académicien puisqu’il ne peut pas voter »…
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